Aller au contenu

Denis FABRE

Membre
  • Compteur de contenus

    909
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Trophée

    2

Messages publiés par Denis FABRE

  1. Effectivement JCW, même si je ne saurais dire si les deux principes son différents, il est clair qu'il y a là au moins de nouvelles applications du principe.

    Le prix d'invention n'est donc pas usurpé d'un point de vue magique.

    Le tour numéro trois reste un mystère pour moi même si je note quelques bizarreries dans la présentation qui pourrait surement être mieux gérées (mais c'est un autre débat... )

    C'est surtout le tour numéro cinq, qui ferait penser à un nouveau principe avec la possibilité de conserver la somme des cartes des séries.

    Pour me faire une idée plus précise je me demandais si dans ces tours tu combinais la peristance avec d'autres principes, d'autres techniques, ou d'autres astuces (cartes marquées par exemple dans l'effet trois)

  2. Il faut aussi comprendre les interrogations et M Péris semble en être conscient alors ne soyez pas plus royaliste que le roi.

    Je confirme qu' avec le tour dont on parle la différence avec le principe de Gilbreath n'est pas flagrante.

    Pour moi aussi, que la série contiennent des cartes quelconques à place fixe ne nous fait pas sortir du principe classique... mais bon je ne demande qu'à être convaincu (par d'autres applications sans doute...).

  3. pour la référence ce jeu est aussi connu sous le nom de "mene tekel" ou encore self-shifting deck (le nom du créateur m'échape... ).

    A notter dans "conjuring anthologie" le dernier livre de Jim steinmeyer, quelques applications de ce jeu nottament une trés bonne divination de deux cartes par Max Maven (entre autre bonnes choses...;))

  4. Je veus bien reconnaître que la magie est un art, pourquoi pas...

    Le problème c'est que cette question est souvent prétexte a éluder un tas d'autres question bien plus intéressante.

    En quoi le fait que la magie soit un art nous affranchi de la notion de truc ?

    Le truc est à la base de la magie. C'est lui qui justifie le "secret" que nous essayons, avec tant d'énergie, de défendre face au débineurs.

    Ce qui compte en magie c'est l'effet, si non effectivement on parle d'autre chose : théatre, chorégraphie, conte... et c'est une autre façon de faire de la magie un art mineur ou subalterne.

    L'effet magique a vite fait de disparaitre dans le déroulement d'une histoire ou il est justifié et donc accepté comme normal.

    L'art dans la magie, consiste justement à rester dans un entre-deux ou le spectateur, voit mais ne peu pas croire en ce qu'il voit.

    C'est certes une équilibre fragile, mais cela n'implique pas forcément la notion de puzzle ou de défi au public.

    Ce qui fait la beauté d'un tour c'est d'abord qu'il est impossible. C'est cela l'esthétique particulière de la magie, que l'on ne retrouve dans aucun autre art. Et cela, aucune histoire bien construite, aucune musique judicieusement choisie, aucun personnage finement construit ne vous l'apportera. Au mieux il feront passer le tour au second plan et éviteront que les spectateur se demande comment ça marche.

  5. "après tout, si on est capable de transformer un billet, pourquoi forcement en un billet de plus grande valeur..? "

    Je te répondrais par une autre question : pourquoi utilise t'on des billet de banque pour ce genre d'effet ? Qu'espère-t-on éveiller chez le spectateur ?

    Si certains magiciens vont jusqu'à donner le gros billet au spectateur c'est simplement parce-que c'est dans la logique directe de l'effet (point barre).

    Pour faire revenir le billet à sa taille de départ il faut trouver une sacrée justification pour que cela reste logique dans la tête du spectateur sans casser la magie.

    Voila comment je comprends le malaise dont tu parles : on passe du spectacle à la réalité. Quelque part, le fait de donner le billet c'est comme si le magicien voulait faire croire à la réalité de ses pouvoirs.

    Ceci dit si le magicien est conscient de ce malaise pourquoi ne pas l'utiliser, mettre finement en valeur le passage de cette frontière entre rêve et réalité, jeu et enjeu de pouvoir...

  6. Oups... Désolé pour le message tronqué...

    Dans l'exemple de Betwen your palm comme tu le décris la dificulté est alors de "controler" ton climax. Dans la deuxième solution c'est le spectateur qui conclu le tour et il n'est pas certain que les autres spectateurs comprennent desuite et de façon claire ce qui se passe.

  7. En fait il y a diférents effets.

    Une disparition crée un effet d'attente chez le spectateur. Pour lui le tour n'est pas fini (sauf cas particulier ou la disparition est la chite logique d'une histoire par exemple). Aprés la disparition le spectateur n'est en général pas tranquile, il se demande ce qu'a pu devenir cet objet et il se peut même qu'il commence à chercher le truc.

    La réaparition permet de clore l'effet et de donner une cohérence qui satisfait le spectateur.

    Biensur dans le cas d'une carte à la poche par exemple, on laisse suposer que la carte n'est plus dans le jeu, mais cela n'a de réelle efficacité que si la carte est signée.

    ceci dit lorsqu'on regarde les routines classiques de cartes la poches, comme celle qui sont décrite dans les livres de Hugard par exemple, on s'apperçoit que le tour commence belle est bien par une disparition (d'une carte pensée en général), laquelle disparition sert de misdirection pour l'empalmage.(je me suis remis à pratiqué ce vieux tour récement... et son efficacité reste entière !).

    Si la réaparition se fait avant la disparition, l'effet perd à mon avis en nettetée. L'idée qui vient d'abord, au spectateur est celle de duplicata et non d'ubiquité.

    Le problème se pose aussi sur des routines, du type Dr Daley's Last Trick. Si je pose les as noirs sur la table, je préfère les retourner en prmeier pour

  8. "La cerise sur la gâteau, c'est le mec à la fin qui vient passer son coup de chiffon, normal quoi !!!"

    Et le lendemain, un autre employé va tenter d'effacer les traces de mains sur la vitre avant de s'appercevoir qu'elles sont... à l'interrieur !?

×
×
  • Créer...