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Denis FABRE

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Messages publiés par Denis FABRE

  1. Tout à fait d'accord avec William : le débinage ne nuit vraiment qu'aux tenyomanes.

    Lorsqu'on achète des tours en plastiques, dans des emballages en plastiques avec l'encoche pour l'acrocher dans les rayons, il ne faut pas s'étonner de les retrouver dans les supermarchés.

    De même, si vous présentez vos tours "dés réception du colis" il ne faut pas s'étonner que le public vous dise : c'est facile il s'ufit de l'achetter.

  2. C'est évident!!!

    Tout magicien se doit d'aller voir des spectacles de magie quand il en a l'ocasion. C'est un trés bon moyen de relancer sa réflexion personelle.

    Il faut aller les voir, non pas en spectateur, mais avec l'oeil du magicien.

    Depuis la salle on voit trés bien ce qui fonctionne et ce qui fait un gros bide. Il faut alors se demander pourquoi ça marche ou pas.

  3. Pour le jeu d'acteur, Chaothique, il fonctionne trés bien jusqu'au moment ou... les deux acteurs principaux doivent tomber amoureux. Là ils n'y croient plus du tout et tombent dans la dérision (surtout Chabat...qui peut pourtant être trés juste).

    Voila : on veut faire un film sur la diférence avec de trés bonnes intentions, mais on est qu'en même pas des homos...

    Dans la scène finale on voit quasiment les deux acteurs qui rigolent en évitant soigneusement de s'embrasser (autant vous dire qu'elle n'est pas trés émouvante).

    Je pense que s'ils avaient été au bout de leur idée ils aurait pus faire pleurer leur public sur une histoire d'amour entre deux mecs. Quand on pense au trés large public que ces acteurs fédèrent cela aurait été une formidable victoire pour la tolérance.

  4. Salut!!

    Le débat est vieux mais il est récurent. Je pense qu'il est impossible en fait de trancher définitivement, "pour" ou "contre" l'une de ces 2 alternatives. Et il me parait même domage de se cantonner à l'une ou à l'autre.

    Lorsque j'ai commencé à me poser ce genre de question (elle sont inévitable), je me suis rendu compte de deux choses :

    _Je ne voulais pas essayer de duper les gens sur le fait que : oui... je fait des manips pour créer des effets. Cela ma semble important pour garder une complicitée réelle avec le public.

    _Je voulais laisser au public le moyen de se laisser aller à une réelle impression de magie.

    Pour concilier ces deux objectifs j'ais travaillé une routine de carte ambitieuse comme ceci :

    Je commence par faire remonter la carte grace à des manipulation de plus en plus complexe et spectaculaire. J'ais construit mon texte dans le but de faire rentrer le public dans ce jeux là et qu'il aprécie la performance.

    Une fois que le public me dit que c'est vraiment trés fort et qu'il exprime son enthousiasme je lui dit : "oui je sais... c'est la partie frime du numéro ou je fait des manips trés compliquées piour épater les gens".

    Cela crée une complicité avec le public en lui montrant que je suis concient de ce que je donne à voir. Je lui fais alors remarquer que dames dernières manips se faisait du bout des doigts. Puis j'explique qu'a force de travail on peut manipuler les cartes sans les toucher. C'est dans cette afirmation contradictoire que tout bascule.

    Je pose alors le jeu sur la main du spectateur, j'enfonce la carte au millieu de façon indubitable, et j'écarte les mains pour faire des geste les plus complexes possible. Le spectateur retourne le paqut et la carte est dessous : FINAL.

    CEtte routine me permet de créer un effet "trés" magique et de le rendre crédible grace au fait que je suis un manipulateur. Le tout sans avoir l'air de me prendre au sèrieux.

    OUFFFF!!!!!!!

  5. William, il est évident que nous travaillons pour le public,et à cent pour cent. Ceci dit, cela n'implique pas que nous lui donnions quelque chose qu'il connaisse déja.

    Ce n'est pas parce-que tu le surprend, qu'il ne te suis plus. Tu m'as déja vus travailler et tu sais que mon travail, qui n'est pas forcément commercial, passe quand même quand il est rigoureux.

    Ce qu'il faut, c'est tendre vers des spectacles incontestables ou le spectateur n'ait qu'a se laisser bercer.

    Je persiste nous sommes responsable de ce que nous donnons à voir : c'est nous qui faisont la magie, même si elle n'existe que dans la tête des spectateur (c'est nous qui l'y mettons)

    Pour otto : si Stanislavsky est has-been, il y a du nouveau depuis l'actor's studio. Mais ne n'égligeons rien au niveau des techniques et je vous signale un autre avatar du théatre de Stanislavsky : la "bio-mécanique" de Mayerhold (un de ses élève) c'est une aproche du jeu par le geste et le mouvement. Intéressant, non.... pour des magiciens.

  6. Si ta question est d'établir ton niveau technique, c'est pas difficile : tu fais des concours de levés doubles avec tes potes.

    A part ce genre de choses je ne vois pas trops ce qui peut-être quantifiable.

    Tout ce que tu peut faire, c'est te fixer des objectifs artistique et te demander avec sincérité si tu les atteinds.

    Ce genre de questionement a en plus pour avantage de te faire évoluer. Et puis tu verras : un objectif atteind et le suivant apparait de lui-même.

  7. De quoi on parle là?

    D'engagement?

    Je ne vois pas trops à quoi ça t'engage de dire non à la guerre par les temps qui courrent.

    C'est trés bien de le faire, mais bon, heuresement qu'on peut dire des trucs comme çà dans une démocratie (surtout quand tout le monde ou presque est d'acord avec).

    Pour le cas des acteurs américains, ce sont des personnes influentes qui s'opposent au pouvoir. Ils ont surement une chance d'influer sur l'opinion.

    Nous autre, pour la plus part, nous sommes des fourmis ouvrières du spectacle vivant (le show-biz du bas, lol) et nous n'avons pas le même pouvoir. Ceci dit en tant qu'artiste nous avons une place qui devrait nous donner un regard sur la société qui n'est pas celui de tout le monde. Un regard qui à mon avis doit aller au delà des alternatives simplistes que nous proposent les médias (ex : pour ou contre la guerre).

    Le problème à mon avis c'est qu'on se laisse confisquer notre pouvoir par des gens et apprés on s'etonne qu'ils en fassent ce qu'il veulent ; Mais alors il est trops tard. Il ne nous reste que le droit de dire qu'on est pas d'acord.

    A mon avis l'engagement de l'artiste est plus profond, il doit remettre en cause (pas forcément de manière choquante) la vie même des gens, pour que les vieux shémas ne soit même plus possible. Demandons nous d'abord si certaines de nos façons de penser ne sont pas en elle même porteuse de guerre, d'injustice ou d'intolérance. Puis, faisons des spectacles qui montre au gens qu'il est possible de penser autrement. Que la guerre tue des gens, tout le monde le sais ; comment l'éviter cela, reste à inventer.

  8. tout à fait d'accord avec Michel.

    N'oublions pas que se sont les magiciens qui font la magie et non les spectateurs.

    De toute façon, il ne sers à rien de se mettre sur le dos le poids du monde et de la fatalité.

    Le travail de l'artiste n'est-il pas de changer les aprioris qui sont dans la tête des spectateurs, d'inventer des nouvelles façons de regarder les choses?

  9. Je pense que ce débat provoque des incompréhensions car outre le débt sur la culture il concerne le "mouvement des squats". c'est un sujt extrèmement complexe et divers, trops souvent relégué à la catégorie : anarchistes, hors-la-loi et autre parasites.

    Trés grossièrement ont peut dire que le gros boum du squat se situe dans les années 80. Cela correspond à la période la plus sauvage de la spéculation immobilliére : beaucoup de batiment étaient rachetés par des organisme financier sans être utilisés, c'était des placements. Divers groupes ce sont alors réapropriés ces lieux pour diférents usages : culture mais aussi lieux comunautaires expérimentaux, logements de sans abris...

    Beaucoup de ces projets sont trés éphémères mais certain ont sut prouver leur intéret et ont ainsi put survivre grace au soutient des habitants voire d'une reconnaissance oficielle.

    Aujourdhui il semble que le squat s'orriente plus vers des friches industrielles ou des usines à l'abandon (voir les tanneries de lyon par exp)

    Ainsi c'est parfois dans l'illégalité qu'émergent des idées nouvelles qui n'ont pas encore leur place dans l'institution.

  10. Il faut faire la distinction entre ce que Amar apelle les "super-group" et les clubs ou cercles que nous conaissons. Les super-group dont parle Amar sont des cercles plus restreints avec des objectifs plus définis.

    C'est une méthode de travail extrèmement interessante mais il s'agit d'autre chose que la démarche associative des clubs.

    Les cercles portent en plus sur leurs épaule le dynamisme de la vie magique... vaste débat.

  11. Je vais parler des cercles AFAP car se sont les seuls que j'ais réellement fréquenté.

    Il me semble qu'il faut bien garder à l'esprit que se sont des clubs amateurs. Cela est trés important pour comprendre le type de travail que l'on peut y faire. Les motivations de chacun sont toujours diverses mais rarement exposées clairement... ceci explique, à mon avis, beaucoup de malentendus.

    Je pense que ces clubs sont plus des lieu de rencontre et d'échange que de travail proprement dit. Cela implique que le travail doit être fait en amont de la réunion pour qu'il puisse faire objet de débat et de réflexion. Chaque participant doit donc jouer le jeu en amenant quelque-chose. Plus il y auras de matiére plus la créativité de chacun sera stimulée jusqu'a la fois prochaine. Car c'est à mon avis cela le principal intérêt des cercles : créer une émulation réciproque entre des magiciens souvent isolés.

  12. Merci alex, je crois qu'on s'est compris. Même si pour ma part je ne m'aventurerais pas dans des explications psychologiques.

    Je ne montrerais pas non-plus un tel mépris pour le nouvel ouvrage de M. chelman, et c'est porquoi je lui serais grés de m'en faire parvenir un exemplaire à sa sortie. Faisant partie d'une certaine ellite de la magie, j'estime que j'y ais droit et gratos en plus (ce qui me permettras d'apporter quelques corrections, non à l'orthographe biensur mais au fond)

  13. Puisqu'on en est aux messages personels, cerise : Tape la bise à Mortimer (c'est le gars qui jongle avec des bulles, même qu'il aime tellement ça que si tu les lui enlève il pleure, LOL)

  14. Youki, Youki, Youki....

    Voici un nouveau florilège de mes fautes d'orthographes. Rien que pour vous et pour que vous ayez quelque chose à écrire dans votre prochain post.

    Pour ce qui est de la clarte de ma prose, le problème me fais plus de peine. En effet : loin de moi l'idée de vous blesser ,( je ne vous pensais d'ailleurs pas si sensible). Je ferais donc, pour éviter les malentendus, des phrases courtes avec des virgules. Ainsi, les "malcomprenants" n'auront plus d'excuses.

    Tout d'abord ilfaut preciser que mon post précédent ne comportais aucune attaque qui remette en question le travail de qui que se soit. Bien au contraire, vous aurais remarqué que je m'attache a louer le travail de m. Chelman. Ce qui est génial dans ses ouvrages c'est qu'il met en branle la réflexion du lecteur. C'est en tout cas comme cela que je lis des livres en général (et non pour y trouver une vérite définitive). mes reflexions sur son travail n'ont pas pour but de le démonter mais de faire avancer mon propre travail (qui me passione).

    Il est vrai que j'ai employé un ton qui peut paraître un brin provocateur : c'est parcequ'il l'est. Oui, j'ais la facheuse habitude de ne pas laisser passer le mépris. Aucune autorite, d'ou qu'elle vienne, ne peut se permettre d'afficher untel mépris.

    Vous me demandez ce que j'écris ; Que vous importe? Faut-il avoir écris des livres pour être respecté maintenant. S'il y a une chose que j'ais apris à la fac (non je ne suis pas totalement inculte) c'est que les livres servent a mettre la verite dans les mains de ceux qui les écrivent (si cette phrase est difficile à comprendre c'est parcequ'elle vas à l'encontre du sens comun, mais avec quelque efforts...). Quant à moi je ne me présente ici qu'avec la force de mes argument.

    Ce qui nous diférencie sur ce forum c'est la présence d'argument dans mes post.

    Je sui prés à reconnaître que vous avez beaucoup de chose à dire, mais pour l'instant... je suis un peu déçu.

    Enfin, je ne vous reproche absolument pas de défendre votre travail (c'est bien la moindre des choses). Je dis seulement que je ne suis pas d'accord quand vous le présentez comme quelques chose de radicalement nouveau. C'est à mon avis plus par sa quallite, que votre travail se distingue. De plus , j'ose afirmer (mais qui suis-je pour oser...) que je ne vous suis pas tout à fait dans votre démarche et qu'elle ne me parraît pas toujours juste.

    Tel était le contenu de mon précédent post...Amen

  15. Youky, qui semble defendre sa boutique encore plus fort que son ego, nous propose la magie-bizare comme nouveau paradigme reserver a une ellite. Avec tout le respect que j'ai pour son travail merveilleux, Iil me semble tout de même que la magie bizare est plutot entrain de redecouvrir une forme de conte qui avait ete abandonnee depuis que R. Houdin a rendu la magie "respectable" en la vendant au pouvoir et en faisant un instrument de propagande (je suis pres à m'expliquer sur ces propos outranciers). Cela me rapelle un peu les gens qui disent que Mnouchkine fait du theatre d'avant-garde alors qu'elle est la seule a retrouver le theatre traditonel comme il se faisait et non a travers le filtre du 19eme siecle.

    J'admire le travail de M. Chelman et sa demarche est une des plus poussee que j'ai vu en magie. Mais j'ai peur que cela lui monte un peu à la tête (si c'est bien lui Youki...). Voici donc quelques argument expliquant pourquoi à mon avis sa demarche n'a pas forcement pour vocation de revolutioner l'art magique. Elle est basee sur une vision du role du magicien dans la societe qui est valable pour une societe de type chamaniste se qui n'est pas mais alors pas du tout le cas de la notre. Le magicien d'aujourd'hui ne doit pas tomber dans un mystiscisme qui malgres toute les distances et prevention d'usage frise parfois l'obscurantisme. Il doit (à mon tres humble avis) proposer au spectateur un nouveau raport à la realite. Il ne doit pas justifier le reel mais au contraire ouvrir le champs des possibles en donnant au spectateur le gout de changer radicalement sa façon de voir le monde des qu'il cligne des yeux. La seule innitiation qu'il possede et la seule verite qu'il connaisse c'est que le monde peut se changer rien qu'en changeant sa façon de le regarder.

    Cela n'est pas unmessage mais une façon d'etre au monde dans la-qu'elle le magicien entraine son spectateur pour l'initier à cette experience. Ainsi le public poura afronter l'inconnu sans peur des tenebres.

    Bises aux filles

  16. Voila un sujet tres interessant!

    Je suis d'accord avec à peu prés tous ce qui a ete dit. Mais il me viens certaines questions. Quand j'ais commencé a fréquenter des magiciens on m'a biensur expliqué qu'il fallait raconter une histoire et que c'etait cela qui allait emporter le public. Soit, mais alors pourquoi faire des tours. La magie en elle même n'a-t-elle pas un potentiel comique, dramatique, ou esthetique? Pour beaucoup le tour ne fait qu'illustrer une histoire qui est racontee par ailleur (La redondance du texte et de l'action est un défaut trés courant chez les magiciens). Deux options sont alors possible : l'histoire est inninteressante et ne sert qu'a justifier le tour, ou bien, l'histoire est passionante et le tour n'est plus le centre de la prestation (pourquoi pas, mais je cherche ici ce que la magie peut apporter pour elle-même). C'est en regardant les numeros les plus depouilles que l'on trouve la reponse a ces question. Ainsi le close-up de part sa forme, et encore plus le table en table doivent concentrer l'interet dramatique et l'on a tout interet a comprendre les travaux d'un Tamariz, Amar, Williamson, ou Stone. En effet Tamariz ne fait souvent que presenter sans histoire ou "scenario", et avec la seule justification qu'il est magicien. Pourtant l'interet comique et indiscutable et ne vient pas que du personnage : se sont ses effet qui rende les spectateurs fous. Il cherche a dramatiser les routines elle même, d'ou sont travail sur le rythme et ce genre de choses. Ce qui est extremement interessant dans cette aproche c'est que la magie est consideree en elle-même comme une ecriture dramatique. Lorsqu'on on s'interesse aux problemes de misdirection et de rythme, notament, on s'aperçoit qu'un tour contient sa propre structure dramatique et c'est cette structure que le magicien doit mettre en valeur pour que l'effet devienne une evidence pour le spectateur, qu'il ne puisse pas faire autre chose que l'accepter. Cela est tres visible chez les magicien que j'ais cite si vous analyser leus travail en vous demandant "qu'es-ce qui marche?". Lisez les travaux theorique de Tamariz ou de Amar : s'il y a de l'art dans la magie c'est là que vous le trouverais.

    Il est évident que tout ne peut pas etre developer ici mais surtout ne pensez pas que ce que je dis soit en contradiction avec le reste : c'est une tentative pour que le point de depart de la reflexion soit la magie. J'ais souvent l'impression que les magiciens ne lui font pas asse confiance.

  17. Je n'ai pas trops compris le but du post de "youky". Veut-il, grace à son lien, prouver que la megalomanie peut amener le kitch à un niveau international? Loin de moi l'idee de me moquer de ce fakir : je pense qu'un bon magicien professionel est un magicien qui tourne. le post laisse entendre qu'il a ete redige par monsieur Chelman soi-même... soit. Sachez que je n'ais nulement l'intention de pomper vos tours. Nous eviterons ainsi la question de savoir si je les prsentes mieux que vous, ce qui etait avant tout une petite provocation. pour ce qui est de mon assurance, je ne pense pas qu'elle puisse mettre la votre en defaut. J'aprecie tous les magiciens qui ont une demarche personelle, qui la defende et qui la partage.

    Generosite et humillite pour faire reconnaitre notre art.

  18. Waou!!! On en est à combien de messages ? 33 ? Bien joué la pub (sincèrement). J'espere que Husky était complice.

    A part ça, pour répondre au post de départ, (qui effectivement enfonce des portes ouvertes mais nous permet de rentrer dans un débat évidement intéressant) : oui nous sommes beaucoup à nous être éclaté à la lecture de Légendes Urbaines. Maintenant quesqu'on en fait ? On copie les routines, le style, on crie au génie?

    Copier certaines des routines ne me semble pas totalement impossible (les plus simples biensur), et pas forcément comdanable : ne rejoue-t-on pas Molière? Par-contre Le danger est de se fondre dans le style Chelman. Même si on reprend ses histoire il-y-a 1000 façon de les raconter (peut-être même mieux que lui).

    Le véritable intérêt d'un livre comme celui là, c'est qu'un auteur nous livre sa démarche de travail un peu comme Tamariz dans "Magicway" . Je dirais que Chelman ne nous introduit pas dans l'univers de "l'illusionisme fantastique" mais qu'il nous explique comment y rentrer. Ce qui est intéressant ce ne sont pas ses routines mais la façon dont il y arrive. Une démarche créative est un processus pratique (il y a des choses à faire) et c'est au bout de ce processus que se trouve l'idée de génie. C'est dans ce sens que ce livre peut être trés utile : en suivant les conseils d'un chercheur dans l'espoir de trouver quelques pépite. Le temps fait beaucoup.

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