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Alx

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Messages publiés par Alx

  1. Il y a 5 heures, Christian GIRARD a dit :

    « Wald [..] obtient le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1967 avec Haldan Keffer Hartline et Ragnar Granit « pour leurs découvertes concernant les processus fondamentaux de la physiologie et de la chimie de la vision par l'œil ».

    Un Nobel assez éloigné des questions relatives à la conscience. 

    Patrick te répondrait sans doute que les deux domaines ne sont pas si éloignés que ça, puisque la réalité passe par la perception, la perception par la vision et la vision par l'oeil. Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Voilà que je défends le point de vue de Patrick... 😅

    Néanmoins, je trouve que la démonstration de Wald est un peu expéditive : l'esprit est la source de la réalité, donc la réalité se compose d'esprit.

    J'ai l'impression qu'il pose comme un postulat la conclusion à laquelle il veut arriver. Avec des raisonnements comme celui-ci, on ne va pas loin dans l'argumentation : la température est élevée donc il fait chaud, mon chat a toujours faim si bien qu'il a bon appétit ou encore les arbres sont en fer donc ils sont constitués de métal (et oui : ce troisième exemple illustre bien la limite de ce type de démonstration : si le postulat est faux, la conclusion l'est aussi...)

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  2. il y a 31 minutes, Christian DELAMORINIERE a dit :

    Désolé, mais quand un chien se met les fesses au frais, il ne pense pas à la bouffe

    Ou peut-être que si : qui sait ? Pas ChatGPT en tout cas...

    Citation

    En tant que modèle de langage, je suis programmé pour fournir des réponses à des questions spécifiques. Cependant, mes connaissances sont basées sur des modèles statistiques qui apprennent à partir de données textuelles fournies par les humains. Par conséquent, mes réponses peuvent parfois être imprécises, incomplètes ou même incorrectes.

    Il est important de noter que je ne suis pas capable de discerner la véracité de chaque information que je fournis. Bien que j'aie été programmé pour minimiser les erreurs, je ne peux pas garantir que toutes mes réponses sont totalement fiables.

    En conséquence, il est essentiel de garder à l'esprit que les informations fournies par moi doivent être prises avec précaution. Il est toujours recommandé de vérifier les informations fournies par d'autres sources et de confirmer la validité de ces informations.

    En somme, il est donc très dangereux de prendre les informations que je fournis pour argent comptant. Bien que mes réponses puissent être utiles, elles ne doivent jamais être considérées comme une source d'information infaillible ou définitive.

    ChatGPT

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  3. il y a 27 minutes, SébastienO a dit :

    Zidane?

    Si tu observes attentivement la photo, tu verras que le sport qui est mis à l'honneur n'est pas le foot, mais le ping-pong (et un peu le trampoline aussi...)

    Révélation

    Par ailleurs, le champion du monde dont il est question ne pratique pas sa discipline dans ce film, mais un autre acteur, oui.

     

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  4. il y a 39 minutes, Patrick FROMENT a dit :

    Il me semble qu'avant "la connaissance" il y a "la perception".

    Tout à fait d'accord, mais si on déclare "la perception que nous en avons est propre à l'individu qui l'observe", on glisse du pléonasme vers la lapalissade ! 

    il y a 42 minutes, Patrick FROMENT a dit :

    Ça ce n'est pas une tautologie, c'est un pléonasme ! 😂 Tout du moins si nous prenons l'acceptation courante du mot "réel" : Réel : caractère de ce qui existe ou de ce qui a existé

    Oui, enfin... si on se réfère à l'acception courante des termes, la réalité, c'est ce qui existe effectivement. Dans ce cas, c'est toute cette discussion qui pléonastique ! 😅

    En fait, je me référais évidemment à la nuance entre "le Réel" et "la réalité" établie dans l'article de Nature Sciences Sociétés, puisqu'il me semblait que c'était sur cette notion de "Réel" que nous avions trouvé un terrain d'entente.

    Un point de cette définition me semble d'ailleurs essentiel :

    Citation

    Nous saisissons le monde, dont on ne nie pas l’existence, par l’interprétation que nous en formons, c’est-à-dire la réalité phénoménologique

    Donc le Réel (c'est-à-dire le monde physique) existe, même s'il ne peut être perçu et, a fortiori, compris ou connu.

    Je me désole toutefois qu'il ait fallu 257 pages de débat pour en arriver à la conclusion que, finalement, nous sommes tous d'accord sur le point le plus critique de la discussion : le monde physique existe.

    Et si on appelle "réalité" la perception du monde physique, alors évidemment que nous sommes également d'accord pour dire qu'elle est intrinsèquement liée à nos... perceptions.
    Et là, ce n'est plus une lapalissade : c'est carrément un truisme ! 😂 

     

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  5. Le 22/02/2023 à 07:50, Patrick FROMENT a dit :

    Il me semble que la difficulté que nous avons, parfois, à nous comprendre dans nos échanges sur ce fil tient à une différence que nous avons dans l'appréhension de l'autoréférence

    L'autoréférence est effectivement un concept qui suscite l'incommunicabilité dans nos débats, mais indirectement.

    J'irais plus loin : cela a déjà été dit ici, mais la difficulté que nous avons à nous comprendre tient surtout à ce que nous parlons de choses différentes quand nous abordons le concept de "réalité".

    C'est bien visible dans les derniers messages du fil : Christian et moi parlons de l'univers, et toi tu parles de la connaissance de l'univers. D'ailleurs, l'autoréférence est un concept qui s'applique à la perception et à la connaissance, pas à l'existence.

    En fait, nous sommes tous d'accord pour dire que l'univers existe (tu dis toi-même que c'est évident).

    Et il me semble que nous sommes également tous d'accord pour dire que notre perception de cet univers est imparfaite. Et par conséquent, que la connaissance que nous en avons est potentiellement biaisée.

    Le seul point sur lequel nous avons du mal à nous entendre, c'est la définition de la réalité. C'est probablement toi qui as raison : après avoir lu une somme considérable de livres sur la question, il est évident que tu es plus qualifié pour utiliser la terminologie technique adéquate (toute analogie avec la définition du scientisme serait une coïncidence. Cocasse, certes, mais une coïncidence quand même !)

    Depuis le début, j'ai bêtement utilisé le terme dans son acception la plus vulgaire, mais si c'est bien un problème lexical, je suis prêt à revoir ma copie et à reconnaître que la réalité est propre à l'individu qui l'observe, à condition qu'on précise (pour les ignares de mon espèce) que la réalité est la connaissance de l'univers (ou "de l'univers réel", si j'ai bien compris la nuance subtile).

    De manière plus digeste, cela donne : la connaissance de l'univers réel est propre à l'individu qui l'observe. Ca ressemble encore à une tautologie, mais c'est déjà moins vertigineux...

    Et puisque nous semblons tous être d'accord sur l'existence de l'univers réel, je propose qu'on le précise dans la formule : l'univers réel existe, et la connaissance que nous en avons est propre à l'individu qui l'observe.

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  6. C'est lamentable. J'avais déjà été désolé d'apprendre que les rééditions des livres jeunesse comme le Club des Cinq avaient été "revues" (vocabulaire simplifié, narration au présent au lieu du passé simple, suppression des descriptions...), mais là on franchit un cap en changeant non seulement la forme mais aussi le fond.

    D'autant plus que, si je comprends (sans y adhérer) la démarche qui consiste à "politiquement-correctiser" les allusions sexistes ou racistes, j'ai du mal à voir pourquoi le personnel de la chocolaterie de Willy Wonka a été "agrandi" (certains Oompa Loompas se seraient-ils plaints d'être présentés comme "pas plus hauts que le genou" ?) ; et plus encore à comprendre pourquoi Matilda lit Jane Austen au lieu de Joseph Conrad : le seul fait de lire des auteurs masculins serait-il devenu offensant ? (D'autant que Joseph Conrad est un auteur plus "exigeant" que Jane Austen, qu'elle le lise en disait donc davantage sur les facultés de Matilda que quand elle lit Orgueil et Préjugés, l'un des romans les plus populaires en Angleterre...)

    D'accord, Roald Dahl est né au début du XXe siècle et, par conséquent, ses romans sont empreints de la mentalité de son époque (racisme, sexisme...) et, d'une manière générale, pas passés au filtre du politiquement correct qui sévit aujourd'hui.

    Mais ils sont le reflet d'une époque, justement : n'en déplaise aux révisionnistes de l'édition, les femmes de l'époque n'avaient pas accès aux carrières qu'aujourd'hui (même s'il reste du chemin à parcourir, on est d'accord). Quand je lis les aventures de Sherlock Holmes, je ne m'attends pas à ce qu'il envoie un texto à Watson : ce serait un anachronisme. Mais nous y viendrons peut-être, le jour où on décidera que nos enfants ne sont plus capables de se projeter dans un monde sans électricité et sans moteur à explosion...

    Qu'on aime ou pas le contenu de ces livres, ils sont le reflet d'une époque. A quand une version de l'Odyssée où c'est Pénélope qui voyage pendant qu'Ulysse démonte chaque nuit sa tapisserie pour faire patienter ses prétendant·e·s, où Circé transforme les hommes et les femmes d'équipage en pourceaux et où Polyphème, une personne non-binaire, a ses deux yeux ?... 

    Je partage complètement l'avis de Philip Pullman : si Roald Dahl nous offense, ne le réimprimons pas. Ou, à notre échelle de lecteur, ne l'achetons pas. Mais de grâce, arrêtons de trahir les textes classiques au nom de la bien-pensance !

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  7. Il y a 17 heures, Patrick FROMENT a dit :

    plongés dans un même environnement, un homme et une souris ne verront pas la même chose, cela a maintes fois été abordé ici (qui a la bonne "version" de la réalité ?).

    Ta question est biaisée par ton interprétation : puisque tu considères que la réalité est intimement liée à l'observateur, tu considères que la réalité de l'homme ne peut pas être identique à celle de la souris.

    Pour moi, qui considère que la réalité est indépendante de l'observateur, ça ne pose aucun problème de répondre qu'ils perçoivent différemment la même réalité.

    La question ne se pose pas, et je dois même faire un effort pour en comprendre le sens.

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  8. En relisant ma réponse (et la réaction de @Patrick FROMENT), je réalise que j'ai l'air de critiquer Claudine Tiercelin et de lui faire dire autre chose que ce qu'elle dit.

    Je précise donc mon propos afin d'éviter tout malentendu : je ne conteste ni la légitimité de Mme Tiercelin, dont je ne connais pas les travaux, ni sa définition du scientisme. Je voulais simplement souligner que la même phrase pouvait servir dans la bouche d'un philosophe à définir le scientisme ou dans la bouche d'un charlatan à décrédibiliser la démarche scientifique 😊

    Le problème de cette définition (mais c'est peut-être le cas de toutes les définitions du scientisme), c'est qu'elle ne s'appuie pas sur ces critères objectifs : il y est question d'obsession, de tics, d'utilité "réelle"... 

    Si je retire tous ces éléments de langage subjectifs, il reste quelque chose comme ça (d'après la définition originale ; en italique, les termes que j'ai rendus plus "objectifs") :

    Citation

    Il va utiliser les mots « science », « scientifique », « scientifiquement » ; employer le langage de la terminologie « technique », même lorsqu'elle est inutile ; se soucier de la démarcation, de l’étanchéité à assurer entre la « vraie » science, the real thing et les imposteurs « pseudo-scientifiques » ; s’employer à identifier la méthode « scientifique », qui explique les succès des sciences ; chercher dans celles-ci toutes les réponses qu'elles peuvent lui apporter

    J'ai laissé de côté la partie sur la priorisation des activités humaines, qui ne me paraît pas relever pas de l'appréciation de la personne qui juge.

    Rédigée ainsi, on voit bien que cette définition pourrait s'appliquer à la science, même dans la bouche d'un scientifique. Il s'agit donc bien d'une définition subjective (au sens premier du terme, "propre à une personne")

    Mon objectif n'est pas de déformer les propos de l'auteure, mais de mettre en évidence que sa définition du scientisme correspond à celle de la science, les termes péjoratifs en plus. Termes péjoratifs mais indispensables, car ils sont l'essence de la définition : en gros, le scientisme, c'est l'abus de science.

    La difficulté consiste à savoir où commence l'abus en question : selon l'endroit où chacun place le curseur, le même individu pourra être considéré (et présenté) par les uns comme un scientifique et par les autres comme un scientiste.

    C'était le sens de mon message 😊

    Révélation

    Ce dernier échange étant un peu trop consensuel, je me sens obligé d'attiser un peu la polémique : je trouve un peu culotté de reprocher aux scientistes de chercher dans les sciences des réponses à des questions qui ne sont pas de leur ressort.

    Claudine Tiercelin serait-elle elle aussi obsédée par la démarcation et l'étanchéité entre la vraie métaphysique et les imposteurs pseudo-métaphyisiciens en blouse blanche ? 😉

     

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  9. il y a une heure, Patrick FROMENT a dit :

    On peut dire, sans trop risquer de polémiques inutiles, que la définition de Claudine Tiercelin s'applique assez bien à la zététique notamment dans "l'obsession de la démarcation et l’étanchéité à assurer entre la « vraie » science et les imposteurs « pseudo-scientifiques".

    Malheureusement, on peut également dire, sans trop risquer de polémiques inutiles, que cette définition de Claudine Tiercelin correspond également assez bien au discours de tous les imposteurs "pseudo-scientifiques" (c'est elle qui limite les guillemets à l'épithète, prouvant involontairement que, si elle prend ses distances avec le terme pseudo-scientifiques, elle adhère au concept d'imposteurs😁) qui cherchent à dénigrer les sciences exactes au profit des sciences "inexactes". A croire qu'il est plus facile de dénigrer les autres que d'étayer ses propres "travaux"...

    Certes, il ne faut pas mettre en place une hiérarchie des activités humaines, et l'art, par exemple, a la même importance que la science. Simplement, l'un s'adresse à l'affect, et l'autre à la raison. Et certains individus peuvent même être sensibles aux deux. @Christian GIRARD, pour ne pas le nommer, est à la fois un fervent défenseur de la science et un esthète, qui ne rate pas une occasion d'alimenter les sujets liés à l'art sur VM. Heureusement pour lui, d'ailleurs : sans ça, il aurait été catalogué "scientiste" ! Ouf !

    Donc oui au droit à la parole, à condition de ne pas pratiquer le mélange des genres : j'aime beaucoup la poésie, mais je n'embarquerais pas dans une fusée fabriquée par un poète. De même, je ne suis pas sûr que j'apprécierais la musique composée par un astrophysicien (mais bon, j'essaierais quand même : c'est moins risqué que la fusée...).

    Oui, toutes les activités humaines sont aussi légitimes, mais un astrologue, qui est légitime pour apporter du réconfort, ne l'est pas forcément quand il m'explique que les mouvements des astres influent sur ma vie je vais passer une mauvaise journée au bureau surtout si mon patron est sagittaire...

    Que chacun se mêle de ce pour quoi il est légitime, et les vilains scientistes arrêteront de dire aux gentils imposteurs (encore une fois, je ne fais que reprendre le terme de Mme Tiercelin ! 😇) de ne pas piétiner leurs plates-bandes.

    Il y a des gens pour qui la vérité scientifique est plus importante que les étiquettes, et qui se moquent de savoir qui est scientiste ou qui est un charlatan. Tout ce qu'ils veulent, c'est savoir si ce que disent l'un et l'autre est vrai. Je t'accorde que ce sont des gens simples, pour qui la réponse "rien n'est vrai, car le monde est une illusion que nous percevons tous différemment car l'Univers est une part de l'observateur" n'est pas satisfaisante. Eux, ils veulent juste savoir si la Terre est plate ou sphérique, et si leur sagittaire de patron va leur casser les pieds.

    La méthode qu'on leur a enseignée, c'est de se fier aux gens qui apportent des preuves de ce qu'ils avancent. Et comme c'est justement la base de la démarche scientifique, on leur a appris à se fier à la science. Je sais, c'est sommaire, mais bon...

    Si demain la communauté scientifique laisse le premier venu raconter n'importe quoi sous couvert de liberté d'expression ou d'expression artistique, comment ces quidams feront-ils la part des choses ? C'est malheureusement impossible, pour les raisons déontologiques que je viens d'exposer.

    Heureusement, il y a une solution pour les "pseudo-scientifiques" qui voudraient tout de même intégrer le cercle prestigieux de la Science-avec-un-grand-S : pour être reconnus comme des scientifiques, il leur suffit d'adopter la démarche du même nom. Et s'ils ne le veulent pas, ils peuvent aussi se contenter d'appartenir au cercle de la Pseudo-Science-avec-un-grand-PS : après tout, pourquoi désirent-ils tant la reconnaissance de cette bande de scientistes qu'ils ne cessent de critiquer pour leur étroitesse d'esprit ?

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  10. Il y a 17 heures, Aurélien B. (TanMai) a dit :

    Comme quoi encore en 1956, on pouvait penser qu'une partie du problème résidait dans la difficulté d'accéder au savoir. L'avènement d'internet a permis de constater que le problème ne venait pas de là finalement...

    En réalité, l'analyse de Günther Anders reste étonnamment juste à l'ère de l'information : Internet regorge de savoir, mais les connaissances sont tellement diluées dans des contenus divertissants, futiles, ludiques et flattant l'émotionnel, que l'accès aux connaissances demeure encore plus difficile et élitiste que jamais...

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  11. Il y a 1 heure, Thierry SCHRR (Zarkanum) a dit :

    je me questionne toujours pour la justification souvent compliquée lorsqu’on s’empare du téléphone d’un spectateur, mais merci!

    Il suffit de demander au spectateur de sortir son téléphone. Une fois que le téléphone est allumé sur la table, on lui met quelque chose dans les mains (un citron et un couteau, ou une boîte, selon la localisation impossible où on veut retrouver le billet 😉).

    Et à ce moment-là, on réalise qu'il nous faut le numéro de série (c'est bête, hein : on n'y avait pas pensé  !). Puisque les mains du spectateur sont occupées, il est tout à fait logique de prendre la photo soi-même...

    Pour certaines routines, il m'arrive aussi de demander au spectateur de me prêter son téléphone pour noter une prédiction (parce que je n'ai pas de papier sous la main... quel tête-en-l'air !). Je précise que je pourrais utiliser le mien, mais avec le sien, on est sûr que je ne peux pas tricher (sic)

     

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  12. Je n'ai pas eu l'occasion de tester ISO, mais si j'en crois ce qu'on raconte sur le forum du Magic Cafe, l'app n'utilise pas la techno N** : il s'agirait plutôt d'un Q*****, dissimulé dans le design d'un paquet de cartes.

    Pour avoir un peu expérimenté les tags N**, je pense que c'est une solution plus sûre : la détection NFC n'est pas toujours active (je pense que certains utilisateurs la désactivent pour des raisons de sécurité, bien que je ne comprenne pas bien le risque...), et surtout, la détection provoque généralement un bip qui n'est pas toujours souhaitable.

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  13. Ils ont réellement payé 27 francs, pas 29 : le pourboire ne doit pas être ajouté à ce montant car il en fait déjà partie.

    En réalité, ils ont payé 9 francs chacun, pourboire compris.

    La vraie question, c'est comment l'addition pouvait-elle s'élever à 25F s'ils ont bu tous les trois la même chose ? 😁 Ou alors le serveur, qui n'est pas si honnête que ça, avait déjà arrondi la note... 

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  14. il y a 17 minutes, Frédéric NAUD a dit :

    Tu l'as fait exprès de parler de vecteur pour un scalaire ?

    Oui, c'était une vanne à tiroir : il y en avait un peu pour tout le monde. Mais je savais bien que le vecteur et le produit scalaire parleraient plus aux amateurs de mathématiques comme @Frédéric HÔ et toi 😉

    Révélation

    Le Scalaire de la peur, c'était pour les cinéphiles ; Le complexe du castor, pour les philosophes et/ou les féministes.

    Quant au jeu nudiste qui se pratique avec les fesses à l'air, c'était la vanne en dessous de la ceinture, histoire de récupérer ceux qui ont décroché après ces vannes trop... pointues 😁

     

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