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Showing content with the highest reputation on 10/05/19 partout

  1. Quoi de mieux que d'être cloué dans un canapé pendant plusieurs jours pour rattraper son retard en DVD et culture magique? (ainsi qu'en Game of Thrones!) J'ai ainsi pu visionner le coffret "Boris Wild's Remarkable Card Magic", un lot de 3 DVD réunissant plus de 7h d'images . C'est un enseignement très enrichissant qui fait la part belle à son jeu marqué très astucieux et au chapelet (que l'on peut apprendre et maîtriser en une demi-journée!!!). Le mariage des 2 se révèle dévastateur dans son Acaan. J'adore aussi sa routine Pure telepathy qui est très... pure! Wild est un excellent pédagogue. Il prend le temps, doucement, d'expliquer très clairement chaque effet, chaque technique, chaque subtilité psychologique, chaque variation. Les techniques exigées pour réaliser ses tours ne sont pas insurmontables, ce qui, à titre personnel, me convient très bien. Il n'y a pas de gestes "impossibles" réservés à l'élite de notre art, et source de frustration pour tous les autres. Je trouve donc que Boris Wild réussit à faire du grandiose avec des gestes et des concepts relativement simple, et ça c'est génial! Il nous enseigne quelques gestes très utiles comme The Kiss Count qui peut servir dans de multiples tours. The gravity Shuffle est pour moi un premier pas très intéressant vers le monde des faux mélanges. J'ai d'autres coups de cœur comme Miracolor, Wild Monte, Very Wild. En revanche, sa routine The Kiss Act avec laquelle il a remporté le championnat du monde FISM en 1997 ne m'a bizarrement pas emballé. Si la vidéo, tournée en 2008 semble t'il, a vieillit plus que de raison ( d'après les coiffures et les vêtements du public très féminin), l'enseignement qu'elle délivre ne prendra jamais une ride. Je regrette en revanche l'absence de sous-titrage français, j'ai donc raté quelques détails sans doute importants. Oui oui, l'artiste est français mais tout est tourné en anglais. A bientôt, je retourne bosser ma coupe à une main et ma Revelation Pass... [vmprod p=214]
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  2. Quelques photos scannées à partir d'archives personnelles ... Ces photos doivent dater du début des années 1970 ... Je ne sais malheureusement ni les sourcer ni les dater avec plus de précision (à l'époque je découpais bêtement les photos au lieu de garder le support entier !). Dominique WEBB a incontestablement marqué toute une génération de magiciens dont je fais partie. Si peu de personnes dans mon entourage se souviennent de son nom, tous ont conservé en mémoire son regard inimitable. Bob
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  3. Salut à tous, comme je ne suis pas venu sur VM depuis bien longtemps j'arrive moi aussi après la bataille du coup le sujet va remonter... J'ai conservé les émissions sur le hdd de la box depuis le début... j'ai donc revu il y à peu celle du mois d'août. Je me place toujours en tant que télé spectateur quand je regarde ce programme et je trouve que c'est vraiment sympa d'avoir une émission de magie en prime. Bien sûr comme je pratique la magie depuis bien longtemps je connais forcement la plupart des trucs comme vous mais je pense qu'il faut la regarder non en pro mais en mode moldus. L'équipe reste sympathique. J'aime beaucoup la présence de Caroline Marx qui apporte la touche féminine. Un peu trop de mentalisme en ce moment. Aucuns griefs contre Zack et Stan mais le choix d'utiliser des animaux dans le tour qui vont passer au mixer ben là c'est pas possible pour moi mentalement même si on sait qu'il y a un truc. Belle découverte de mr Ribs. Voilà petit débrief tardif.
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  4. Une solution pas mal c'est le système de pré-vente type financement participatif. Une fois que tu as mis en place quelques conférences pour en demontrer la qualité les autres sont soumises au financement des clients. Tu proposes un nouveau projet avec l'artiste, le plan de ce dont il parlera pendant la conférence, les jalons à partir de la fin de la campagne et un objectif de financement avec un prix fixe pour chaque personne. Une fois que l'objectif est bon tu lances le projet sinon tant pis et on rembourse.
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  5. Ce fut un plaisir de retrouver certains amis magiciens à l'ouverture.
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  6. Salut Justement @Alex', sais tu si MD fera une carte de fidélité? Du coup effectivement il devient plus intéressant de commander chez Ludo que chez MD. Surtout qu'une GROSSE boutique vient de faire la même chose. Donc si tu as des infos je suis preneur
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  7. Un photographe dont j'adore les œuvres, Chema Madoz : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chema_Madoz Source : Clic !
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  8. ... et le DVD est déjà reçu, avec le petit bonus :
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  9. Aujourd’hui c'était donc le jour des obsèques. Une église remplie d’amis, d’inconnus et de magiciens tous venus pour rendre un dernier hommage à notre cher Dominique parti trop tôt. Une belle cérémonie et puis le cercueil qui s’en va sous les applaudissements vers sa nouvelle demeure... merci pour tout! La magie perd un grand monsieur et beaucoup d’entre nous se sentent un peu orphelins ce soir... Au revoir Monsieur Dominique Webb...
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  10. https://www.chambre237.com/les-incroyables-sculptures-de-pierre-de-hirotoshi-ito/
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  11. Ce genre de jouet fonctionne aussi sur un plan incliné (le contre-poids n'est alors pas nécessaire) Il en existe de multiples déclinaisons : Pour d'autres exemples, recherchez sur le WEB avec les mots clés "ramp walker". Bob
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  12. Un autre conseil, qui sort peut-être légèrement du sujet, mais qui peut être très utile et qui m'avait été donné il y a très longtemps, lorsque je débutais, par un très grand Monsieur de la Magie : Pierre EDERNAC et que je vous redonne ici. Il m'avait expliqué que lorsque l'on fait un tour de carte à une personne, même si le tour en question ne le nécessite pas, il faut "for...r la carte. Cela présente deux avantages. Premièrement de s'entraîner à la technique du for...ge et ainsi nous perfectionner, d'autre part cela te donne un avantage non négligeable pour retomber sur tes pieds si le tour ne se déroule pas comme il était prévu au départ.....
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  13. Merci beaucoup pour ce post. Le bouquin à l'air très intéressant, je vais me le procurer. Chacun "fait" sa propre "école de la magie" avec son éducation, ses principes, sa personnalité. J'avoue, au début avoir expliqué un ou deux tours à des collègues qui s'empressaient de savoir "comment ça fonctionne ?". Victime de ma générosité et sans penser à mal. Les tours, heureusement étaient plus que basiques. Je partageai à ce moment précis l'ingéniosité de celui qui avait "pensé" le tour. C'est aussi une manière de lui rendre hommage. Ce qui fait défaut à cet art, c'est qu'il n'y a pas ou peu d'école de la magie digne de ce nom. Une école, un creuset, apprend en premier lieu les règles. Surtout celles qui doivent être respectées et partagées par tous ses membres. Il serait judicieux, outre les règles et pénalités encourues en cas de copie, présentées au début des dvd, de prendre une minute pour expliquer, chacun à sa façon, qu'étudier la magie c'est faire partie d'une famille qu'il faut respecter. Je l'ai compris grâce à mon professeur actuel. Maintenant, il y a toujours une question d'argent et d'accès facile via internet notamment... Tout est une question d'homme (enfin... et de femmes !) d'un côté celui qui veut respecter un art, de l'autre celui ou celle qui tient à rêver, pour trouver un juste équilibre. Il faudrait également expliquer qu'il est question de travail, de techniques et que "tout le monde" peut y arriver (et non pas y accéder). Cela permettrait de laisser place au spectacle et non pas au rêve car les mentalités changent et les personnes aujourd'hui sont de moins en moins prêtes à rêver. Il n'y a pas si longtemps je réalisais des tours et des collègues voulaient absolument savoir, connaître comment les cartes pouvraient changer de couleur, se transposer, etc... Ces personnes ne veulent pas rêver. En revanche, maintenant que je prends le temps de leurs expliquer avant les tours, qu'il est question de mécanismes, de techniques, de contrôle de l'environnemnet, etc... les personnes regardent différemment les tours, les acceptent et ne demandent jamais rien. Je crois, selon le pays, que pas mal de monde a besoin d'être rassuré. Le sepctacle est un art à lui seul, il n'est pas nécessaire de faire croire au pouvoir magique... La deuxième réflexion est sur l'altruisme. Combien d'entre vous, et c'est aux magiciens pro que je m'adresse, prennent ils un élève en charge ? Dans pas mal d'arts un professeur tient à transmettre son savoir (gratuitement) à un ou deux élèves qui se montrent particulièrment intéressés. Pour ma part, les premiers profs (ou psuedo profs) à qui j'ai eu affaire n'étaient intéressés que par l'argent... Vous me direz, chacun court après ce qu'il n'a pas !
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  14. Hello Frantz. Je te cite : « Certains ont cette faculté d'imagination que d'autres n'auront jamais... » Je n’aurais pas dit mieux ! Je suis continuellement confronté par mes activités professionnelles à la différence profonde qu’il existe d’un individu à l’autre quant à la capacité d’exploiter les informations que je communique. Le potentiel créatif d’un individu se jauge pratiquement dès les premières minutes de cours : l’un, studieux mais passif, va assimiler les données et les conseils en prenant soin de les restituer ensuite à l’identique. L’autre, curieux, va essayer d’intervertir les termes d’une proposition (un exemple, et ne prenant comme point de départ que ce qui peut se présenter comme de plus basique : si l’on apprend deux accords à la guitare, que se passe-t-il en les jouant dans l’ordre contraire de ce qui a été proposé ? Obtient-on toujours un résultat musicalement cohérent ? Si oui, pourquoi ? Est-ce que ça marche pour tous les accords ? Et avec trois accords, est-ce que ça fonctionne encore ? Et si ça ne marche pas, y a-t-il une solution pour obtenir quand même un résultat valable ? Et qu’est-ce qui fait que ce que je suis en train de jouer sonne si mal alors que celui qui est en face de moi semble faire la même chose et que ça sonne si bien ? Etc.). Notez le positionnement de mon propos qui est : la capacité créatrice a certainement quelques chose à voir avec la curiosité, et donc avec la faculté qu’on aura de poser ou pas des questions, bonnes ou mauvaises (la question de savoir « Qu’est-ce qui provoque la curiosité ? » sera peut-être un autre sujet du forum ?). Et comme les remarques pertinentes ne viennent jamais seules, je cite Alx : « Il faut consacrer du temps à la création. Il n'y a pas d'autre solution, inutile de chercher un raccourci : tu ne le trouveras jamais » car effectivement et malgré tout le potentiel d’un individu, il est nécessaire de disposer de ce trésor qu’est le temps, un des plus précieux d’ailleurs que l’on puisse trouver en ce bas monde (quelques minutes avant de mourir, vous comprendrez à quel point !). Notez que je n’ai fait pour l’instant qu’aborder le problème de la création INDIVIDUELLE, c'est-à-dire celle qui consiste à inventer des choses nouvelles POUR SOI, ce qui me semble déjà beaucoup et louable. Je ne rentrerai pas ici dans le cadre d’un débat sur ce qui serait de la « VRAIE » création, de l’imitation sans le savoir, des « redécouvertes qui ne se savent pas comme telles » (voir à ce sujet mon thread sur le forum, intitulé « Les nains et les géants »), des variantes, des assemblages, des vols (avoués ou non), des copies, des extensions, des « emprunts », et autres patchworks… Et puisque l’on se pose la question de la création et qu’Einstein (Albert, pas Franck !) est très justement cité, lui qui a complètement réformé NOTRE FAÇON DE PENSER LE COSMOS ET LE TEMPS (excusez du peu : c’est quand même autre chose qu’une n-ième méthode pour une levée double non ? Et je ne parle même pas de ce qui lui a valu le prix Nobel !...), je vais me permettre de citer ce texte qui éclaire la citation de Frantz : ALBERT EINSTEIN (poète et philosophe ?) : « Quand je m’examine, et examine mes façons de penser, j’en viens presque à la conclusion que le don de l’imagination a d’avantage compté pour moi que mon aptitude à assimiler des connaissances pures. L’imagination est plus importante que la connaissance. Elle a un impact réel en recherche scientifique. La connaissance est limitée, l’imagination embrasse le monde, stimule le progrès, donne naissance à l’évolution ». J’ajoute que trop de connaissances peut s’avérer sclérosant. Il y a parfois beaucoup plus à tirer dans l’ignorance que dans le savoir. La connaissance d’un sujet suggère des voies toutes tracées. L’ignorance d’un sujet peut permettre de découvrir un nouveau chemin. LE SAVOIR NOUS ENRACINE, L’IGNORANCE OFFRE L’HYPOTHESE D’UNE VOIE OUVERTE SUR L’INCONNU (Copyright Christian Girard 2003. Poète et philosophe autodidacte). Frantz : « Il y a plein d'exercices et de techniques pour "stimuler la créativité", et pas qu'en magie !... (cf. l'Oulipo en littérature, les brainstormings en marketing, etc.). » C.G. Là, j’ai un gros cadeau (au moins pour Frantz et Arthur, mais j’en connais quelques autres qui vont adorer également). Voici l’adresse du site extrêmement riche de l’une de mes connaissances. Entre autres friandises un lien avec un l’OUGRAPO, l’OUvroir de GRAmmaire Potentielle ! http://www.fatrazie.com/ Un régal ! Site très stimulant et d’une tenue exemplaire. J’ajoute que Frantz a eut l’excellente idée de ne parler uniquement que de « stimuler la créativité », car on ne peut guère faire plus que cela : développer un potentiel qui existe déjà, des capacités latentes. Vous pourrez vous entraîner autant que vous voudrez à la course à pieds sur un cent mètres, si vous n’avez pas à la base un physique à la Carl Lewis, il n’y a aucune chance de le surpasser dans sa catégorie. Mais alors, pourquoi ne pas choisir de « l’attaquer » sur un marathon ?... Et pour ce qui est du brainstorming (en français : remue-méninges) je me souviens qu’il existe un recueil sur la créativité de Richard Bordenave, un magicien qui travaille justement dans le marketing (en français: la mercatique) qui pourrait peut-être intéresser David Vincent (dont je ne peux lire le nom sans penser aux envahisseurs). En complément, David, je vous conseille d’aller faire un saut sur le site de Duraty http://www.duraty.com/ et de cliquer sur le chapitre « La créativité » avec des réflexions de Duraty (qu’on ne présente plus), Sylvain Mirouf (que j’espère voir intervenir souvent sur Virtualmagie) et Ivan Laplaud (dont on peut aussi lire - dans le numéro 37 d’Imagik paru récemment - une nouvelle primée au 33e concours international littéraire des Arts & Lettres de France 2002). Beyrevra : « Mais il est très difficile de composer une symphonie si on n’a pas appris le solfège au départ, ni peindre un chef d'oeuvre si on ne connaît pas la théorie des couleurs. » C.G. Très difficile, mais il y a quand même de l’espoir ! Si le solfège peut vraiment aider dans la composition d’une symphonie (en tous cas pour la transcrire sur le papier), il n’est en aucun indispensable pour faire de la musique. Les vieux bluesmen noirs américains ont apporté au patrimoine artistique mondial une révolution qui de s’est jamais démentie et qui continue d’influencer directement aujourd’hui encore la création musicale. Django Reinhardt, extra-terrestre génial dans sa discipline, ne connaissait pas une note de musique et reste un artiste majeur dont presque toutes les compositions sont devenues des standards. Paco de Lucia, l’un des plus grands guitaristes de flamenco, n’a jamais lui non plus appris le solfège. La liste peut être allongée à volonté. Car la musique ne repose pas sur une connaissance du solfège qui n’est qu’une série de codes conventionnels bien pratiques pour écrire et lire la musique, ce qui est fort différent que de la jouer, la penser, la rêver ou l’imaginer… Et sans solfège, tous ces artistes possèdent pourtant une profonde connaissance de ce qu’est la musique (théorie comprise, même si c’est de façon inconsciente, parfois parcellaire, et n’est pas formulé selon les codes en vigueur). Ce sont aussi d’infatigables travailleurs ! Quant à la théorie des couleurs, je suis sûr que les artistes de Lascaux n’en ont jamais entendu parler, ce qui ne les a pas empêché de produire des œuvres de l’esprit intemporelles. « Camille », citant un producteur : «Moi, je me sers des gens qui savent, dans mon métier, il faut juste être malin. » C.G. : Etre malin ? Diable !… Camille : « En somme, ma réponse serait d'encourager Vincent à (…) être une éponge. (tiens cela me rappelle quelque chose!) » C.G. : Et tu conseilles d’avoir un côté « grattounette » ou pas ? Frantz : « Un AUTEUR oulipien (…) c’est "un rat qui construit lui-même le labyrinthe dont il se propose de sortir". » C.G. …ce qui le différencie du magicien qui lui construit son labyrinthe pour perdre les spectateurs ! L’émission Court-Circuit n°142 (Arte) a présenté un intéressant portrait du cinéaste Kenneth Anger qui conçu certains de ses films « comme des rêves », à l’exemple de Fireworks qui influença des gens comme Lynch et Scorsese. Les membres du jury du festival de Biarritz lui décernèrent le pris du film poétique et son président – Cocteau - dit à Anger : « Votre œuvre vient de la nuit noire de l’âme ». Anger a lui-même été fortement influencé par le mystique spiritualiste Aleister Crowley qui « avait une approche sacrée de la sexualité » et pour qui « il y avait de l’énergie sexuelle qu’on pouvait diriger dans une cérémonie magique ». A propos de Crowley, les arcanes majeurs de son tarot son ici : http://www.conesa.com/aleister/index2.html Si je cite Kenneth Anger, c’est pour l’exemple qui va suivre relatif au mode de création qu’il était susceptible d’utiliser, comme ceux que nous offrent parfois les hasards de la vie et sur lesquels il faut savoir rebondir. En 1963, Anger tourna « Scorpio Rising » pour lequel il filma jusque dans l’intimité de leurs chambres tapissées de posters de James Dean une bande de motards aux blousons noirs et cloutés et aux motos entièrement customisées. Au bout de quinze jours de montage, un paquet est par erreur déposé à son adresse. Il s’agit d’un film de catéchisme relatant images à l’appui le dernier voyage du Christ à dos d’âne pour Jérusalem. Anger décide alors de monter ces images pieuses dans son film, en les intercalant avec celles qu’il a lui-même tournées sur les motards de Coney Island, le tout accompagné d’une chanson des années soixante dont je vous livre le texte ci-dessous. Imaginez quelques plans de jambes en pantalons de cuirs, puis Jésus en habit d’époque, puis à nouveau quelques motards sur leurs machines, puis le Christ sur son âne, avec ce fond musical qui confère du sens à tout cela, mais non sans un humour décalé: « Regardez sa façon de marcher dans la rue Regardez sa façon de traîner les pieds. Il se tient droit en passant devant toi. C’est mon homme à moi. Quand il me tient par la main je suis fière Parce que c’est pas un gars ordinaire. Mon chéri c’est celui Qui ose ce que personne a jamais osé. Simplement à cause de ce que les gens disent : C’est un rebelle Et il ne vaudra jamais rien ». Une dernière chose me vient à l’esprit, et il me semble indispensable de conclure sur ce point. Ne donnons pas une importance trop grande à la création en la présentant comme la panacée ou le point d’orgue de ce qui doit être accompli par le magicien. Comme pour la musique, il est tout aussi important d’avoir de bons interprètes que de bons créateurs. D’ailleurs, l’interprétation procède elle aussi d’un processus de création d’un niveau probablement bien plus subtil que celui ne consistant simplement qu’à trouver de nouveaux principes magiques. Christian GIRARD 19 Octobre 2003
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  15. Le truc c'est souvent le fil, un flap ou une trappe. Un aimant ,un tirage Une levée double voir parfois triple. Un peu de double face un faux dépôt ,une coquille , un ressort. Un peek , un switch, une illusion optique un principe logique Ou physique. Et surtout le lapin dans un chapeau. Et le secret dans tout ça ne m'as pas encore été révélé.
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