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Quel tour vous a le plus déçu ?


Invité Antony

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Ça ressemble quand même à de la bonne branlette de magicos.
Quelle est la place du spectateur dans tout cela ?
Si tenté qu'on considère que la magie ne peut s’opérer que dans la perception et l’analyse d’un récepteur.

Que la satisfaction personnelle de créer quelque chose d’unique peut se revendiquer, je suis curieux de savoir d’où vient la satisfaction quand l’acte principal n’a consisté qu’à faire flamber la machine à billet, déconnecté de tous le processus créatif et de l’expérience qui lui a été nécessaire.
Le fait de posséder ?
Soit !
Mais alors qu’à t’on d’autre à transmettre au principal intéressé (le spectateur, pour Woody qui ne suit pas) que ce plaisir égocentré de la possession. En quoi le spectateur peut il se sentir concerné par ce petit ou grand bonheur onaniste du possesseur ?

Faites une série de tours plus faramineux les uns que les autres à des spectateurs et incluez-y une routine de balles mousse, mélangez et revenez quelques jours plus tard pour savoir de quoi parlent les gens normaux.

L’expérience n’éclaire que le chemin parcouru.
Peut-être qu’un peu de réflexion également.

Si j’avais un truc à acheter, ce ne serait pas la possession de quelque-chose d’unique, ce serait de l’expérience et de la réflexion.

Pour peaufiner ma routine de balle mousse.

Hier j'ai croisé un circassien et je lui ai demandé combien il me vendait son triple salto arrivé sur une jambe.
Il m'a regardé bizarrement et j'ai cru comprendre que le vrai et le seul prix à payer, c'était le travail.

Modifié par dub
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Circulez !

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il y a 23 minutes, marc page a dit :

Vu sous cet angle et non celui de se faire une réputation avec la création d'un autre, c'est tout autre chose.

 

Dans mon propos de base, l'acquéreur sera devant les choix, à lui de faire le bon.

il y a 24 minutes, marc page a dit :

Tout ça pour dire que c'est un ensemble de choses qui se perdent et ceux qui voudraient les préserver sont montrés du doigts comme étant des vieux cons qui ne veulent pas évoluer, vivre avec leur temps, etc...

 

Justement, dans l'art contemporain , l'oeuvre n'a parfois pas d'aspect physique. Je pense en particulier à l'exposition de Tino Seghal au Guggenheim museum de New York. Une des plus curieuses expériences artistiques qui y fut exposée

http://www.voir-et-dire.net/?Tino-Sehgal-The-Kiss-The-Progress 

Vivre avec son temps, c'est aussi réfléchir à de nouvelles problématiques, à d'autres relations avec l'art. On en revient au sujet de la magie, l'art et les musées. Une fois de plus, certains d'entre nous se posent en précurseurs de ce que pourrait devenir la magie au XXIe siècle. En s'opposant à une certaine médiocrité.

il y a 25 minutes, marc page a dit :

Je me suis déjà posé la question, à ma petite échelle, de comment transmettre un jour son savoir et/ou son matériel par le mérite plus que par l'argent. Je pense que la transmission par le mérite se perd aussi.

L'argent reste la manière la plus simple de remercier l'artiste, je me trompe? Les compliments n'ont jamais nourri leur homme. Toutefois, veiller à ce qu'une mémoire ne s'efface pas est aussi une manière de travailler pour un meilleur futur.

 

Je reviens au tour parfait. Imaginons qu'il existe, sinon de quoi causerions nous? Le diffuser à grande échelle serait le ramener à un simple trick et finalement lui faire perdre toute sa valeur. Le montrer dans des conditions précises, dans un environnement adéquat (quel qu'il soit), et à un public privilégié (pas nécessairement riche) que l'on désire honorer, participerait à sa mise en valeur. Donc, pas de youtube évidemment. L'art de créer un moment fait partie de l'effet, et non du tour. On pourrait exiger que le spectateur se déplace pour le voir, comme au théâtre, même si c'est un "simple" tour de cartes.

Imaginez que vous soyez invité dans un lieu mythique et privé et, que dans ce cadre particulier et/ou prestigieux, l'artiste vous offre dans un moment unique d'assister à un tour présenté comme une oeuvre. (Ce serait aussi, au second degré, une façon d'évoquer Dai Vernon à la recherche de Kennedy ou le voyage initiatique). Aller à l'encontre de la banalisation, que l'aventure soit partie intégrante de l'effet. La valeur de perception est une véritable valeur.

Tout ça ne serait évidemment valable que si le tour et l'artiste sont au sommet, autrement, l'effet final ne serait que décevant. Comme quand vous achetez une merde...

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Il y a 20 heures, Christian Chelman a dit :

Ok, inversons la question.

Quel prix seriez-vous prêt à payer pour un tour unique

[...]

Pour rappel, David Copperfield et autres magiciens professionnels achètent très cher ce genre de tour, mais pour un durée déterminée. Vous achèteriez même les droits de le faire en télé...

Dans votre cas, la durée serait illimitée...

 

Je préciserais juste le paragraphe sur Copperfield. Ce n'est pas la pensée de Christian, mais on pourrait l’interpréter de cette façon en le lisant. Copperfield n'a pas uniquement fait sa réputation sur des tours achetés en kit, prêt à l'emploi... juste en faisant un chèque... Il s'est construit ET de par sa réputation, les créateurs sont venus le voir. De fil en aiguille il a construit une équipe autour de lui et il a investi son temps et son argent, pour faire fructifier tout ça. Je ne crois pas qu'il ai commencé sa carrière avec déjà des millions en poche (mais je peux me tromper).

Ca me fait penser à Christian Fechner. J'ai relu un article qui lui était consacré dans MadMagic. J'étais trop jeune à l'époque de la polémique. Mais si je me souviens bien de l'article en questions, certains confrères étaient jaloux du numéro de scène de Fechner... "pfff c'est facile quand on a le compte en banque...". Mais avant d'avoir l'argent il fallait avoir les idées pour aboutir à ce numéro.

Bref je dévie.
 

Citation

 

Je reviens au tour parfait. Imaginons qu'il existe, sinon de quoi causerions nous? Le diffuser à grande échelle serait le ramener à un simple trick et finalement lui faire perdre toute sa valeur. Le montrer dans des conditions précises, dans un environnement adéquat (quel qu'il soit), et à un public privilégié (pas nécessairement riche) que l'on désire honorer, participerait à sa mise en valeur. Donc, pas de youtube évidemment. L'art de créer un moment fait partie de l'effet, et non du tour. On pourrait exiger que le spectateur se déplace pour le voir, comme au théâtre, même si c'est un "simple" tour de cartes.

Imaginez que vous soyez invité dans un lieu mythique et privé et, que dans ce cadre particulier et/ou prestigieux, l'artiste vous offre dans un moment unique d'assister à un tour présenté comme une oeuvre. (Ce serait aussi, au second degré, une façon d'évoquer Dai Vernon à la recherche de Kennedy ou le voyage initiatique). Aller à l'encontre de la banalisation, que l'aventure soit partie intégrante de l'effet. La valeur de perception est une véritable valeur.

Tout ça ne serait évidemment valable que si le tour et l'artiste sont au sommet, autrement, l'effet final ne serait que décevant. Comme quand vous achetez une merde...

 

Je ne peux m'empêcher de penser à ce que fait Derek Delgaudio actuellement dans son spectacle à New York.

Que d'hommes se pressent vers la lumière non pas pour voir mieux, mais pour mieux briller - Nietzsche -

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Il y a plusieurs thèmes différents dans cette discussion.

Le "tour qui déçoit le plus" :

N’est-ce pas cette unique expérience, passée ou présente, qui nous réunit tout ici, quels que soient le niveau, l’expérience, la provenance ou l’âge : le fait d’avoir attendu avec impatience le Saint-Graal qui, à 40 ou 400 euros, allait enfin nous permettre de briller en société.

Et de nous imaginer, la nuit sous la couette plus ou moins humide, les multiples occasions de présenter ce miracle. Et nos nouveaux fans en train de nous applaudir à tout rompre. Et de guetter l’arrivée du facteur, qui nous permettra de passer de simple mortel à vrai magicien. Ce sont mes souvenirs d’enfance... et à voir les 51 pages du sujet Venom quelques clics plus bas, je me dis que les choses n’ont pas tant changé que ça.

N’est-ce pas ça, au fond, l’imagination et la créativité ? Projeter des possibles, imaginer "ce que l’on pourrait faire avec" ?

L’enjeu, c’est la réaction que l’on va avoir à la réception du Saint-Graal-qui-finalement-n’en-est pas-un : dans un cas, c’est la douche froide, la déception absolue (ce n'est pas encore ce soir que je vais pouvoir baiser !). L’ex-tour-de-magie-Graal-désormais-pourri va finir dans un tiroir ou, dans sa version moderne, dans les petites-annonces de VM.  Dans ce cas, il n’y a plus qu’à attendre le prochain "ultimate miracle absolu" à vendre. Et c’est comme ça que, pernicieusement, on devient un magiconsommateur. Rien de mal à ça, certains restent des magiconsommateurs toute leur vie et ma foi, ils contribuent à la stabilité économique de l’industrie magique et à la paix sociale, en finançant le train de vie d’un jeune inventeur (ou d’un nettement moins jeune inventeur) qui n’a jamais, dans la vraie vie, rencontré un spectateur. Honnêtement, pourquoi pas : ça n’a jamais fait de mal à quiconque.

Ou alors, il y a la réaction alternative : "Ok, c’est nettement moins bien que j’imaginais, mais est-ce qu’il n’y a pas quelque chose de récupérable ? Si je reprends le bout de ce machin pourri avec l’autre bout de cet autre machin minable, est-ce qu’il n’y a pas quelque chose à trouver ?" . Est-ce que les grandes idées ne naissent pas de l’observation d’une situation existante et de la frustration qu’elle engendre ?

N’est-ce pas ça, au fond, l’imagination et la créativité ? Projeter des possibles, imaginer "ce que l’on pourrait faire avec" ?

Mais il y a bien plus dangereux que le "tour qui vous déçoit". C’est le "tour qui vous plaît". On le reconnaît, celui-là. Le produit qui procure un bon impact, à peu près partout, avec pas tant de travail que ça. Le problème, c’est que s’il vous plait à vous, il va certainement plaire à tous les autres. Et le "tour qui plait" va devenir le "tour que tout le monde va faire", la mode du moment, le standard incontournable que tous les spectateurs vont devoir se manger dans tous les spectacles sur Terre, pendant 10 ans.

Il y a 20 ans, le MOAB (book-test) était un secret absolu, détenu par une quinzaine de personnes. Aujourd’hui, celui qui ose ne PAS le présenter devant un public est un héros qui mérite une décoration. Ces temps-ci il y a les book-tests, le coffre suspendu qui fait "schlonk", la roulette russe avec le clou. Actuellement, c’est le moment du Rubik’s Cube. Il y a eu le Racoon de Williamson, les pièces Jumbo, les cartes déchirées et reconstituées morceau par morceau (que ça semble vieux !). Aujourd’hui, encore un peu de flaps et de Sharpie. Demain, qui sait ? 

Pour revenir au tour qui déçoit : il ne faut pas s’imaginer que ce sentiment de déception n'appartient qu’à la magie. Un de mes livres préférés est Mail Order Mysteries, qui recense et décrit tous ces petits objets pseudo-utiles ou merveilleux (et au fond, assez magiques) que l’on pouvait acheter dans les programmes télé des années 80... Je vous parle d’un temps que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaitre : des publicités de vente par correspondance de lunettes à rayons X permettant de voir sous les vêtements, ou le périscope secret planqué dans un stylo permettant d'espionner la voisine, ou encore le pendentif contenant un morceau du château de Dracula, ou la pièce de monnaie hypnotique permettant de contrôler les actions de qui l’on voulait...  Chaque page du livre reproduit la publicité mirifique... suivi de la piteuse photo de l’objet reçu, et d’une description du désenchantement du gogoconsommateur au moment de découvrir l’objet de ses rêves, immédiatement devenu l’objet de ses cauchemars. C’est un livre merveilleux. Je l’ai offert à un magicien connu dont j’ai vu, alors qu’il tournait les pages, les larmes lui monter aux yeux. "Pourquoi tu pleures ?"  "Parce que devant ces pubs d’objets magiques, c’est toute mon enfance qui défile. Ces objets, j'ai supplié mes parents de me les acheter, ils m'ont permis de devenir qui je suis".  

N’est-ce pas ça, au fond, l’imagination et la créativité ? Projeter des possibles, imaginer "ce que l’on pourrait faire avec" ?

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Un autre thème dans cette discussion : le prix du tour ultime qui n’aurait pas de prix (ou alors très cher). Est-ce qu’il existe vraiment ? Je ne sais pas. Aujourd’hui, le tour underground (je me souviens, c’était super à la mode dans les années 1990, ce mot !!), c’est surtout le prochain-tour-qui-va-sortir-sur-le marché-dans-trois-mois.

Ce qui a une réelle valeur, ce n’est pas un tour mais un outil, un gimmick ou une procédure, qui permet une quantité d’effets différents.

Ce qui a une réelle valeur, c’est une expérience, un magicien qui a roulé sa bosse ou a travaillé pendant 20 ans avec tel matériau, tel support, telle technologie. Lui, il va me faire gagner des mois ou des années de recherche : ça, ça a une grande valeur.

Une idée seule, une suggestion, un "ah tiens et si tu faisais ça", ça peut éventuellement avoir de la valeur... Mais qui ne remplace pas la mise en pratique, l'expérience et les années de champ de bataille.

Un seul tour, qu’une seule personne pourra faire (ce qui me semble illusoire dans ce monde YouTubé où tout se remonte en quelques heures.... mais si, voyons !), je ne sais pas si ça possède une immense valeur. Tout au plus sera-t-on le seul à pouvoir utiliser ce jouet pendant quelques semaines, tout au plus. Car soyons réalistes, plus grand-chose ne « baise tout le monde » plus de quelques jours, en ces années 2000 très Youtoubesque et Faceboucienne. Et pourquoi pas, au fond. Ca va nous forcer à être bons et à faire mieux que de montrer des puzzles en recherchant la gratification immédiate. Qui disait "You Are The Magic", déjà ? 

Ne confondons pas les méthodes et les secrets.

Si je devais claquer des fortunes, ce serait dans un objet (un tour, un gimmick, un poster, une photo, peu importe) que je mettrais chez moi, bien au centre, de façon à passer devant chaque jour, et à me souvenir de quelque chose en le voyant.

J’ai la chance de côtoyer des grands inventeurs de magie. J’ai regardé beaucoup de documentaires sur d’autres inventeurs ou des designers d’objets que nous employons tous dans notre quotidien. Ils ont chacun leur histoire, mais ils ont un point commun : ils possèdent tous, chez eux, des objets de leurs prédécesseurs, qui les inspirent et leur rappellent qu’il faut encore bosser.

Chez le génial Marc Setteducati, c’est un mur d’étagères qu’il a a appelé le « Mur de l’Excellence », comprenant les inventions (puzzles, prototypes) de ses prédécesseurs ou collaborateurs, qui le stimulent et l’inspirent. Chez Gaëtan Bloom, c’est une vitrine comportant tours et gadgets dont il peut (et va) vous faire la démonstration et l’historique complet.

Un jour où David Copperfield faisait visiter sa collection privée, un journaliste attire son attention sur une sorte de sculpture qui n’avait rien à faire là. DC lui explique qu’il s’agit d’un élément de décor original du film Citizen Kane. Le journaliste lui répond que ça n’a pas de rapport avec la magie, et DC lui répond : « Je possède cet objet pour me rappeler tous les jours de ce que j’ai ressenti en voyant ce film ». De la même manière que Steven Spielberg possède aujourd'hui la luge que l’on voit dans le même film.   

N’est-ce pas ça, au fond, l’imagination et la créativité ? Projeter des possibles, imaginer "ce que l’on pourrait faire avec" ?

SC

Modifié par Seb
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il y a 45 minutes, Loic J. a dit :

Je ne crois pas qu'il ai commencé sa carrière avec déjà des millions en poche (mais je peux me tromper).

 

En fait si, ses parents sont richissimes, et le lobby derrière lui l'a sérieusement aidé. Mais ça n'enlève absolument rien à son talent, personne n'aurait mis des fortunes derrière un ringard.

 

il y a 46 minutes, Loic J. a dit :

"pfff c'est facile quand on a le compte en banque...". Mais avant d'avoir l'argent il fallait avoir les idées pour aboutir à ce numéro.

Christian Fechner est un des magiciens que j'ai le plus respecté. C'était un visionnaire que quasiment personne n'a suivi.

 

il y a 48 minutes, Loic J. a dit :

Je ne peux m'empêcher de penser à ce que fait Derek Delgaudio actuellement dans son spectacle à New York.

Et comment donc. On se rend compte aussi de la vraie valeur d'un tour exceptionnel dans ces conditions.

 

il y a 39 minutes, Seb a dit :

Un seul tour, qu’une seule personne pourra faire (ce qui me semble illusoire dans ce monde YouTubé où tout se remonte en quelques heures.... mais si, voyons !), je ne sais pas si ça possède une immense valeur.

Mais justement, tout est là. Il y a aussi l'art du secret autour de ce tour.

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Citation

[...] Mais alors qu’à t’on d’autre à transmettre au principal intéressé (le spectateur, pour Woody qui ne suit pas) [...]

Ah, salaud :D;) !

Sinon, après avoir lu l'intervention de Seb, je pense le sujet clos concernant le tour qui déçoit. Pour le reste, malgré son petit côté peste, je rejoins Dub; tout cela n'est que oiseuse considération.

Enfin : 

- IKKS, ZARA et Cie c'est rien à côté de ce qui est vendu chez Kooples :D . En même temps, s'il y en a assez cons pour acheter, comme dirait l'autre... :D 

- La valeur d'une oeuvre d'art... Vaste sujet ou vaste fumisterie ? Je ne parviens toujours pas à trancher mais j'adore la réponse de Dali concernant l'oeuvre de l'élève de Velasquez :) .

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Invité Antony
il y a 47 minutes, Woody a dit :

IKKS, ZARA et Cie c'est rien à côté de ce qui est vendu chez Kooples :D . En même temps, s'il y en a assez cons pour acheter, comme dirait l'autre... :D

T'imagine même pas le nombre de cons que j'avais quand j'étais chez Mickaël Kors et qui achetaient des robes a 600€ ou doudoune a 1000€ pour au final seulement payer "la marque" car niveau qualité a la limite c'était mieux ikks et compagnie 😂

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il y a 48 minutes, artifice31 a dit :

Mais pourquoi le créateur d'un tel tour déciderait-t 'il de le vendre? Si c'est pour l'argent, son talent devrait lui permettre de créer d'autres tours à vendre en masse sans avoir à vendre celui-ci. Alors pourquoi? 

Les différentes réponses à cette question m'intéressent personnellement. (Sauf pour les réponses des néfastes que j'ai mis en ban-list évidemment)

De mon côté, je ne vendrais jamais l'explication d'un tel tour, mais le distillerais soigneusement à quelques spectateurs choisis. Et évidemment, rien ne serais publié sur Youtube...

 

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