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Un cauchemar les yeux ouverts...


Kéli

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il y a 6 minutes, Edler a dit :

Ayant travaillé dans une banque,


Ca y est, on tient un bankster ! Arrêtez-le ! ¬¬

 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

je peux te dire que ce ne sont pas du tout les « petits » clients sur lesquels elles font leur beurre, bien au contraire. Une banque ne demande pas mieux que de les voir partir.


En fait elles font leur beurre lorsqu'ils acceptent de payer les frais bancaires abusifs dont je parlais, lorsqu'ils sont à découvert.

 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

Elles préfèrent travailler avec les commerçants et les personnes aisées (il y a même des gestionnaires de patrimoines, qui conseillent ces personnes pour faire fructifier leur argent, avec la bourse par exemple).

Autrefois, les « petits » clients n’avaient pas de compte en banque et cela fonctionnait très bien. C’est l’État qui a obligé la population et les banques à ouvrir des comptes en banque à tout le monde, principalement pour les virements de salaire.

Les banques ne se plaignent pas, elles « gèrent » les mauvais payeurs. Je comprends ta colère, mais je te rappelle qu’un chèque n’est pas un instrument de crédit. Faire un chèque, c’est reconnaître que l’on doit payer cette somme, à vue. La provision de ce chèque doit même exister au moment de sa création. S’il ne peut pas être payé, le bénéficiaire peut demander (dans les 8 jours) à ce qu’un protêt soit établi par un notaire, pour constater le défaut de paiement et la banque ajoute alors au montant du chèque les frais de protêt (qui peuvent être élevés), plus ses propres frais.
Faire un chèque, c’est un peu comme payer en liquide : le billet doit exister, la provision du chèque aussi.


Ok. Note que nous avions plusieurs comptes dans cette banque, tous approvisionnés (un ou deux comptes perso et un compte commun). La banque avait bien notre argent dans ses coffres. Elle pouvait au minimum nous avertir en cas de souci sur un compte pour qu'on transfère de l'un à l'autre compte, avant de prélever des frais (et je rappelle que c'était pour des petits chèques, pas pour des grosses sommes).

Et surtout, la jurisprudence dit que la commission d'intervention doit être prise en compte dans le calcul du taux effectif global (TEG) qui ne doit pas dépasser le taux d'usure (près de 21% par an). Pour un chèque d'une dizaine d'euros en attente pendant quelques jours, cela représenterait à peine un demi centime par jour, ce qui est des centaines de fois moins que ce qu'ils prélèvent.

Voilà quelques infos et calculs (qui datent de 2009)

Les frais bancaires, autres que le taux d'intérêt, liés aux découverts bancaires déclarés hors la loi par la Cour de Cassation

La pratique de ces frais est dorénavant pénalement répréhensible au titre du délit d'usure.
(…) le seuil de l'usure fixé par la Banque de France pour le 1er trimestre 2008 concernant les découverts bancaires est fixé à 20,88% pour un découvert bancaire inférieur à 1.524 euros.

Exemple J.O du 11/06/2002
    Montant : 50 000 €
    durée du découvert : 10 jours
    Agios+frais : 136,99 €
    Tx d’intérêt calculé (par jour) : 0,0274%
    Tx intérêt calculé (par an) (TAEG) : 10,52%

(Comme vous voyez, dans mon cas - une vingtaine d'euros de découvert pendant 3 ou 4 jours - on est bien en deçà en nombre de jours et surtout en montant de découvert - de l’ordre de 100 ou 200 fois moins -  mais les frais prélevés sont du même ordre)


(…) Risques pour la Banque :
Suivant l'article L313-4 et L313-5 du code de la consommation, une telle pratique est passible de 2 ans d'emprisonnement et de 45.000 euros d'amende.
Source : http://www.blogg.org/blog-71118-billet-arret_06_20_783-783435.html


La justice condamne les banques
(...) Pour revenir directement à ce fameux arrêt de la chambre commerciale de la cour de cassation, pris en février 2008, il stipule que les frais liés au dépassement d'un découvert bancaire devaient être pris en considération dans le calcul du TEG. Une telle disposition confirme donc que, désormais l'intégration de ces frais (les frais de forçage ou d'intervention) dans l'assiette de calcul du TEG de tout découvert bancaire, entraine un dépassement du seuil de l'usure pénalement répréhensible par l'article L313-4 du code de la consommation.

La cour de cassation fait bien la distinction entre une opération résultant de l'autorisation d'un découvert et une autre opération de crédit résultat du dépassement de l'autorisation. Lorsqu'une banque accepte de payer en dépassement de découvert autorisé elle accepte de facto un nouveau crédit. Or, les frais de forçage ou d'intervention sont directement liés à cette nouvelle opération, donc ils doivent être inclus dans le calcul du TEG au même titre que les frais bancaires prélevés de façon habituelle.
Les banques ne peuvent ignorer que la cour de cassation est le plus haut degré de juridiction en France et que la jurisprudence fait autorité et sert d'exemple dans un cas déterminé.
Source : http://banque.20minutes-blogs.fr/archive/2008/04/07/la-justice-condamne-les-banques.html


Frais et commissions d'intervention abusifs

Voir aussi :  http://droit-finances.commentcamarche.net/forum/affich-3822804-frais-et-commissions-d-intervention-abusifs

 

Extrait de l’article du Canard enchaîné du 22 décembre 2010 (Un hold-up des banques à 2 milliards, p.4)
“En octobre 2009, un découvert de 6 Euros était “puni” par un prélèvement forfaitaire de 8 Euros de commissions d’intervention. Un peu plus tard, pour trois débits effectués le même jour et un compte dans le rouge de 26 euros, le malheureux s’est vu taxé trois fois, soit 24 euros. En quelques mois, ce sont 510 euros que la banque lui a ainsi ponctionnés. Sans compter les classiques agios, au tarif amical d’environ 14 %. Tout bien pesé, a constaté le tribunal, le taux réel pratiqué par le Crédit agricole d’Ile-de-France sur les découverts atteignait ainsi 1680 % l’an, alors que le taux de l’usure est de 19 %”
 

Un banquier, ça use les découverts

« 60 MILLIONS de consommateurs » nous en a appris une bien bonne la semaine dernière : les frais bancaires ponctionnés en cas de découvert sont pour partie... illégaux. En théorie, le banquier ne peut pas trop se goinfrer. Le découvert s'apparente à un crédit, et les intérêts (les agios) doivent rester inférieurs au taux d'usure fixé par la Banque de France (environ 20%).

Tout se corse quand le client dépasse son autorisation de découvert. La banque peut alors rejeter les paiements qui arrivent. Mais « elle préfère dans la plupart des cas honorer les paiements » en facturant des « commissions d'intervention » qui font « exploser » le coût du découvert, bien au-delà du taux d'usure, affirme la revue « 60 millions ». Jusqu'à 40 euros de frais pour un euro de dépassement!

Pas de quoi déstabiliser nos insubmersibles banquiers. La Fédération bancaire française a balayé ces honteuses accusations d'un revers de communiqué : ces « commissions d'intervention », explique cette dernière, ne sont pas vraiment des agios car elles rémunèrent « l'examen du compte (...) du client avant (...) d'accepter ou non le paiement de l'opération ».

C'est clair comme un compte offshore !

Le Canard Enchaîné, 28 octobre 2009

 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

Ce n’est pas quand on a peu d’argent qu’on paie un max., c’est quand on ne paie pas, afin de dissuader le client et l’inciter à partir. Les chèques impayés ou mis de côté ne peuvent pas partir en compensation avec les autres banques, qui s’échangent leurs chèques (autrefois c’était physique, à la Banque de France). Le solde positif ou négatif oblige à un paiement au taux du marché monétaire, c’est pourquoi les chèques impayés coûtent aux banques (sans parler du personnel employé à cette gestion).


Ce qui est bizarre et un peu compliqué c'est qu'en regardant les dates de valeurs on voyait que les chèques en question étaient bien honorés le jour de leur présentation, et non réellement mis en attente. Je ne vois donc pas ce que ça leur a couté. Et pourquoi facturer plusieurs commissions d'intervention de suite pour le même chèque? Pour 2 chèques (de faible montant hein), une fois, ça m'avait couté 18 commissions d'intervention soit 6.58€ x 18 = 118 € alors que les chèques n'ont même pas été mis en attente et que dans le pire des cas, étant donné le virement fait immédiatement sur le compte, celui-ci n'a pu être à découvert que 2 jours ! Je n'avais eu aucune réponse concrète de la banque au sujet de leur calcul, bien que je le leur ai demandé plusieurs fois, en leur fournissant tous les éléments.
 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

Le résultat c’est que le chèque a de plus en plus mauvaise presse et on verra probablement bientôt sa disparition. Tout comme la monnaie de papier et les pièces, comme le veulent certains (dont l’UE).
Que de la monnaie scripturale, plus facile à dominer et gérer (et à "voler"). Ça promet du bon temps…


Il ne faut pas se laisser faire en effet.

 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

Il y a bien sûr des personnes en difficulté, mais il y a aussi des truands qui veulent vivre sur le dos de la société. Une banque n’est pas un organisme devant faire du social, c’est un commerçant comme un autre, devant prospérer.


Encore une fois, je n'ai jamais dit le contraire.

Ce qui est embêtant, c'est lorsqu'ils prospèrent sur notre dos en violant la loi (cf les textes plus haut), et de plus, sans qu'on puisse s'y opposer, puisqu'ils prélèvent directement sur notre compte contre notre volonté. Et plus ils prélèvent, plus ils mettent les gens dans l'embarras pour les mois suivants, ce qui répète le processus.

 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

Essaie d’acheter une voiture et de ne pas la payer et tu verras… C’est pareil.

 

Bon exemple, la voiture, où les banques et autres organismes de crédit accordent facilement des crédits hors de prix à des gens qui n'en ont pas les moyens.

Quand la personne ne peut plus payer, pas de problème, ils saisissent la voiture.

 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

Ou un kilo de pommes et partir sans payer.

Quand une banque octroie un crédit, elle crée en effet de l’argent. En effet, elle te permet d’acheter quelque chose alors que tu ne peux (ou ne veux) pas la payer tout de suite. Ensuite tu rembourses en lissant ainsi ton budget et à ce moment cela se traduit par de la destruction monétaire. Au final, il n’y a pas de création monétaire.


Il y a une création monétaire de la différence (somme remboursée - somme prêtée), sauf erreur.

Ce qui nous oblige à augmenter constamment la masse d'argent en circulation,

c'est à dire, ce qui nous oblige à une croissance économique sans fin. Croissance sans laquelle le système, tel qu'il est conçu actuellement, ne peut subsister.

 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

Sauf si la demande devient supérieure, il y a donc un excédent de création monétaire. De même en cas de non remboursement des crédits, la destruction monétaire n’aura pas lieu. Et tout cela se traduit par de l’inflation.
Pour faire un parallèle, imagine que tu fabriques un gâteau avec tes connaissances. Chacun a apporté sa part de matière. Et puis voici que d’autres personnes arrivent, avec un bout de papier prouvant qu’elles ont également le droit de prendre une part du gâteau. Le gâteau ne se créant pas, cela oblige tout le monde à avoir droit à une part plus petite, alors que les nouveaux arrivants n’ont rien fait pour la mériter.

Les temps ont changé depuis les années 70, l’État n’est plus maître de sa monnaie, la Banque de France ne la gère plus. L’État n’est plus censé maîtriser sa monnaie, il ne gouverne plus, nous avons transféré notre souveraineté à l’UE, un régime totalitaire et tyrannique (sous le talon aiguille allemand, plus la botte).


Je parlais de ce problème plus haut, qui date de la loi Pompidou-Giscard de 1973.

Mais ça n'a rien à voir avec l'UE !
 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

Et pendant ce temps on nous amuse avec de pseudos présidentielles qui ne représentent plus rien.

Oh là là… pour la dette tu n’y es pas. Elle est en effet devenue énorme, mais à cause d’un endettement effréné de la part des gouvernements successifs.

 

Jusqu'en 1972, la Banque de France pouvait prêter à l’État des milliards sans intérêt ou à un taux très faible (bref la France gérait elle-même son argent). Ce n'est plus le cas maintenant, suite à la loi de 1973. C'était bien avant l'Euro.

 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

Ce qui permet à l’UE de nous tenir par les …, en nous fournissant les liquidés nécessaires. Tsipras en sait quelque chose, ainsi que l’Italie, l’Espagne et le Portugal. En attendant notre tour. L’Angleterre a réussi à retrouver sa liberté, sans que ce soit dans la douleur. Pour nous il faut encore attendre que l’euro, dans son éternelle fuite en avant désespérée, se casse définitivement la … et là ce sera dans la douleur.

Non, ce scandale de plus n’est pas à reprocher aux banques, mais aux gouvernements.


Les gouvernements qui sont maintenant au service des banques malheureusement. Au point qu'on est en train d'élire un banquier de Rothschild...

« Il est une chance que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire, parce que si tel était le cas, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin »

Henry Ford (fondateur de la Ford Motor Cie)

 

il y a 6 minutes, Edler a dit :

Par contre, ce qu’on peut reprocher aux banques, c’est leur puissance, capable d’interférer de plus en plus dans la vie politique. Elles dominent, elles font ce qu’elles veulent et elles ont les moyens de faire élire ou de détruire tel ou tel candidat selon son sens, utile ou non. Avec l’aide de leurs alliés de tout poil. Le grand perdant, ce sera le peuple, encore et toujours. Et ceux qui font tout pour avoir ses voix doivent bien rire, ils sont mêmes prêts à vendre leur âme au diable pour avoir le pouvoir… de servir leurs maîtres. Et tant pis pour les conséquences et le peuple, qu’ils méprisent.

P.S. : le titre de ce fil est particulièrement bien choisi. Sauf que les yeux sont aveugles.

 

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Evidemment, il y a pas mal d'irrégularités, avec ton problème. Les temps ont bien changé.
Normalement, quand un chèque est sur le point d'être rejeté, la banque avertit son client pour lui demander de mettre en place la provision nécessaire (quand ce ne sont pas des rejets à répétition). Et si plusieurs comptes sont présents, effectuer un virement.

Il y a quelques années, j'étais parti en vacances à l'étranger, donc non joignable.
Pendant ce temps le troisième tiers des impôts (le plus gros) était passé, le loyer trimestriel également, un gros encaissement par erreur (non respect de l'accord sur la date), les cartes bleues à débit différé et une erreur de ma part en faisant mes comptes. Bref, la cata complète.
Eh bien ma banque, ne pouvant me joindre, a effectué un virement à partir d'un autre compte, pour m'éviter tout problème. Je lui en est été très reconnaissant, au retour.

Mais il s'agissait de quelle banque, la tienne ? La Poste ?

Citation
Quand on veut on peut.
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Arrêtez de tourner autour du pot... Le danger est là et personne ne semble le voir.

Discussion avec un insoumis... (pour qui JLM voulait rendre le vote obligatoire, au passage).

"- Tu vas quand même pas laisser passer un parti haineux et xénophobe ?

- Non, mais attends, Macron a été banquier quoi !"

:S

 

Un avis intéressant ici:

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Glucksmann a la mémoire courte, son discours est celui déjà entendu en 2002.

Qu'ont fait les Gluksmann et consorts durant 15 ans pour que la situation de 2002 ne se reproduise pas?

Et d'ailleurs, qui est Glucksmann et quelle est sa légitimité pour donner des leçons? http://www.ojim.fr/portraits/raphael-glucksmann/

Au passage, le vote était voulu obligatoire, mais avec reconnaissance du vote blanc et la possibilité de mise en place de référendums révocatoires. De Rugy, soutien de Macron, y était d'ailleurs favorable. Cela ne me choque pas qu'avoir des droits impose des devoirs, il n'y a que pour ceux qui nous gouvernent depuis des décennies à qui cela ne s'applique pas...

Ne généralise pas sur les discours d'un militant, car il y aurait beaucoup à dire sur ceux de Macron, et pour avoir discuté avec des militants de tous bords, l'analyse critique et la culture politique penche plus vers les partisans de Méluche que ceux de Macron.:

Et pour le scientifique que tu es, je glisse un lien et te laisse la possibilité de le mettre en relation avec les politiques éducatives, numérique et culturelles des différents candidats (j'ai donné un lien sur des comparaisons par des ONG et des acteurs indépendants plus avant) : http://www.huffingtonpost.fr/idriss-j-aberkane/economie-de-la-connaissance_b_5443212.html

Modifié par dub
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Circulez !

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Il y a 11 heures, Edler a dit :

Evidemment, il y a pas mal d'irrégularités, avec ton problème. Les temps ont bien changé.
Normalement, quand un chèque est sur le point d'être rejeté, la banque avertit son client pour lui demander de mettre en place la provision nécessaire (quand ce ne sont pas des rejets à répétition). Et si plusieurs comptes sont présents, effectuer un virement.

 

Le problème c'est qu'ils nous contactaient par courrier qu'on recevait plusieurs jours après. Ensuite il fallait déposer des sous sur le compte ce qui prenait encore du temps, même en allant au guichet avec du liquide, il y a toujours leurs satanées dates de valeur.
Et je précise que même lorsqu'on était averti du problème le jour même en consultant par hasard ce jour là le compte sur internet, et en agissant le jour même, on avait quand même de leur point de vue plusieurs jours dans la vue donc plusieurs commissions d'intervention. En bref, c'est du vol organisé.

Avec une autre banque où je suis actuellement, je suis prévenu par texto lorsqu'il y a un découvert, c'est déjà plus rapide.

Note aussi qu'ils prenaient des commissions d'intervention pour les chèques, mais pas pour les prélèvements sur le compte. Va savoir pourquoi. Aucune logique, en dehors du fait qu'ils pénalisent l'utilisation des chèques en espérant que les gens en utilisent moins.
 

Citation

Il y a quelques années, j'étais parti en vacances à l'étranger, donc non joignable.
Pendant ce temps le troisième tiers des impôts (le plus gros) était passé, le loyer trimestriel également, un gros encaissement par erreur (non respect de l'accord sur la date), les cartes bleues à débit différé et une erreur de ma part en faisant mes comptes. Bref, la cata complète.
Eh bien ma banque, ne pouvant me joindre, a effectué un virement à partir d'un autre compte, pour m'éviter tout problème. Je lui en est été très reconnaissant, au retour.


C'est bien.
Note qu'à notre époque, ils peuvent nous joindre encore plus facilement même à l'étranger, par téléphone et par email.

 

Citation

Mais il s'agissait de quelle banque, la tienne ? La Poste ?


C'était le Crédit Coopératif, chez qui j'étais allé pour leur politique éthique d'investissement (pas de business dans l'armement, dans le nucléaire etc... et peu de présence dans les paradis fiscaux).

En réalité ils n'ont de coopératif que le nom.

 

Citation

Ne généralise pas sur les discours d'un militant, car il y aurait beaucoup à dire sur ceux de Macron:


Bonne vidéo.
C'est vrai qu'on connait peu les idées et le programme de Macron,
par contre, on connait ceux de Le Pen,
attention donc à ne pas s'abstenir pour le deuxième tour, c'est très risqué...

Si l'abstention des personnes souhaitant voter Le Pen est de 10% mais que celle de ceux qui préfèrent Macron sans grand empressement est de 30 ou 40%, en gros... alors Le Pen passe.

Modifié par Kristo
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Il y a 5 heures, friboudi a dit :

Arrêtez de tourner autour du pot...

Il y a bien motif à tourner autour du pot. De ce que j'ai pu constater depuis dimanche, Macron est en train de faire la même erreur - en pire - que Chirac en 2002, c'est-à-dire de pas reconsidérer la situation. Ne tendre aucune main et considérer que la situation actuelle le maintient en position de gouverner à coups d'ordonnances par exemple.

Ne pas tourner autour du pot, c'est lui accorder gratuitement toute légitimité en cas de victoire, alors que se faire élire sur une base de front républicain doit avoir un coup. Ignorer ceci est très dangereux à moyen terme. Sa stratégie de com "ni de droite ni de gauche" aurait pu être une véritable aubaine pour appeler à un front républicain, il n'est pas foutu de la saisir. Et il ne faut pas oublier les législatives... L'histoire n'est pas finie. En l'état, il y a donc bien motif à tourner autour du pot.

(pour quelqu'un qui souhaitait ne pas parler politique il y a quelques jours, l'entrée en matière me semble un pounième directe et sujette à polémique...)

Modifié par TanMai

We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

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il y a 21 minutes, Kristo a dit :

Tu le sais très bien petit canaillou >:(

Le risque est d'avoir un(e) président(e) grave, encore plus grave que l'autre candidat.
 

J'avais compris l'inverse... :) Macron, c'est la fin de la France, de nouveau un Hollande pour 5 ans. Impossible, sauf à quitter la France.

En plus il compte gouverner par ordonnances, la tyrannie totale et la démocratie zéro. Le tout avec l'appauvrissement de la population et ce dont il est interdit de parler en régime totalitaire. Sans oublier, bien sûr, l'asservissement à Merkel.

Modifié par Edler
Citation
Quand on veut on peut.
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